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Mme Borne veut d'abord tirer les leçons des incidents qui ont affecté les gares parisiennes en décembre, en grande partie dus aux nombreux chantiers en cours sur les voies ferrées après des années de sous-investissement. Après avoir exprimé son mécontentement, la ministre se veut constructive, adoptant un ton conciliant avec les dirigeants de la SNCF, qu'elle a convoqués le 8 janvier pour un débriefing. "L'objectif, c'est vraiment de sortir d'une séquence qui n'a pas été très positive ces derniers temps", euphémise-t-elle. "Il faut que tous ensemble on tienne un langage de vérité. Oui, le réseau a été sous-entretenu. Oui, le réseau a manqué d'investissements". Or, reconnaît-elle, "c'est aussi l'Etat qui a orienté ce que faisait la SNCF". "Le gouvernement accompagnera dans la durée les investissements pour remettre le réseau à niveau, mais ça ne va pas se faire en un claquement de doigts et la SNCF doit faire le maximum pour assurer le service le plus robuste possible et apporter la meilleure information aux voyageurs" en cas de problème, indique Elisabeth Borne. Au-delà de ces travaux, "l'Etat doit réfléchir à une stratégie globale pour le ferroviaire", ce qui va occuper la ministre au premier trimestre.
Pour l'éclairer, elle attend deux rapports fin janvier : celui de l'ancien patron d'Air France, Jean-Cyril Spinetta, qui planche sur la "refondation" du modèle ferroviaire français qui a trop longtemps privilégié le TGV, et celui du Conseil d'orientation des infrastructures (COI). Celui-ci doit permettre de faire des choix parmi les projets. "Quel est le domaine de pertinence aujourd'hui du ferroviaire?", interroge la ministre des Transports. Ses priorités iront au fret et aux grandes villes, avec "une priorité aux transports du quotidien". "Je pense qu'on a besoin de plus de ferroviaire dans les métropoles", insiste l'ancienne patronne de la RATP. Et elle assume les dépenses nécessaires : "ce sont des montants très importants, mais je pense que le transport ferroviaire est un mode très important pour répondre aux files de camions sur nos routes - dont nos concitoyens et les élus ne veulent plus - et un mode indispensable pour sortir nos métropoles de l'asphyxie qu'on connaît aujourd'hui". Elle se veut rassurante pour les villes desservies par des TGV qui prolongent leur parcours au-delà des axes à grande vitesse : "les Français y sont très attachés (et) le gouvernement n'a pas l'intention de revenir sur les engagements qui ont été pris vis-à-vis des villes moyennes". Mais, ajoute Mme Borne, il faudra revoir le mode de calcul des péages qui les pénalisent actuellement, et donc trouver des compensations pour SNCF Réseau. La ministre est en revanche moins sûre quand elle évoque les TER peu fréquentés : "quand on a des alternatives sur certaines lignes où il y a un ou deux trains par jour, avec peu de voyageurs, c'est de la responsabilité des régions. Mais à un moment donné, on ne pourra pas tout accompagner". Elisabeth Borne compte d'ailleurs dédiaboliser la route, délaissée depuis le Grenelle de l'environnement, et qu'elle considère "indispensable dans un certain nombre de zones en France". "Il faut qu'on utilise toute la palette des solutions pour répondre aux besoins de déplacements de tous les citoyens, dans tous les territoires", explique-t-elle.
A.F.P. 02-01-2018
CEREMA
Patricia Blanc a été élue à la présidence du Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema). Elle succède à Gaël Perdriau, maire de Saint-Etienne qui a démissionné de son poste. Patricia Blanc est ingénieure en chef des mines. Elle a débuté sa carrière au sein de la préfecture de Lorraine où elle était en charge des aides aux entreprises industrielles. En 2000, elle rejoint le ministère de l'Ecologie où elle occupe notamment les fonctions de chef du service de la prévention des nuisances et de la qualité de l'environnement à la DGPR à partir de 2008. Quatre ans plus tard, elle est promue directrice générale de la prévention des risques, fonction qu'elle quitte en décembre 2015 pour prendre le poste de directrice générale de l'Agence de l'eau Seine-Normandie.
Actu-environnement.com 27-12-2017
CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS
Éric Lombard, directeur général de la Caisse des Dépôts, a procédé à la nomination d’Olivier Sichel en tant que directeur général adjoint de la Caisse des Dépôts. Il sera membre des comités de direction de l’Etablissement public et du Groupe. Olivier Sichel, 50 ans, est diplômé de l’ESSEC, de l’IEP de Paris et ancien élève de l’ENA.
Leblogdesinstitutionnels.fr 22-12-2017
Les Eco-Maires veulent se battre pour les territoires à énergie positive pour la croissance verte (TEPCV). L'association vient de déposer un recours devant le Conseil d'Etat contre l'abandon d'une partie des financements prévus. Pour rappel, les TEPCV ont été lancés, en 2015 par Ségolène Royal, ministre de l'Environnement, pour accompagner les territoires dans la transition énergétique. Pas moins de 750 millions d'euros ont été mobilisés via le Fonds de transition énergétique pour accompagner 560 territoires labellisés sur trois ans, jusqu'en 2020. Or, la publication d'une circulaire le 26 septembre 2017 ampute ces crédits de près de 200 millions d'euros.
Actu-environnement.com 22-12-2017
Les mises en chantier de logements neufs ont progressé de 5,7% de septembre à novembre en France, comparé aux trois mêmes mois de 2016, tandis que les permis de construire ont augmenté de 4,8% sur la période, a annoncé le ministère de la Cohésion des territoires. Au cours de ces trois mois, les mises en chantier se sont élevées à 112.600 unités, tandis que 133.100 permis de construire ont été délivrés, a précisé le ministère . Le logement individuel (non groupé) et celui du logement collectif ont été également dynamiques: les mises en chantier ont progressé respectivement de 10,5% dans le premier secteur et de 7,6% dans le second, toujours de septembre à novembre. Pour les permis de construire, la hausse a été de 8,9% dans l'individuel pur et de 3,1% dans le collectif. Sur les 12 mois écoulés à fin novembre, les mises en chantier de logements neufs et les permis de construire ont augmenté respectivement de 15,7% à 418.200 unités et de 11,4% à 504.200 unités, comparé aux 12 mois précédents.
A.F.P. 28-12-2017
La solution de signalisation Flowell développée par le groupe Colas a été installée par le département de Vendée (85) à l’arrêt de transport scolaire de La Chabotterie situé dans la commune de Saint-Sulpice le Verdon. Elle entrera en service à partir du 8 janvier prochain. Avant de tester son innovation routière à l’international, Colas a retenu le département de Vendée comme premier site pilote Flowell. La solution prend ainsi la forme d’un zebra à Saint-Sulpice le Verdon dont les bandes intègrent des centaines de leds encapsulées qui s’allumeront pour indiquer l’approche d’un autocar. Pour Alain Leboeuf, président de la commission Infrastructures au département : « La solution Flowell va permettre de sécuriser l’arrêt des cars scolaires et de sécuriser l’attente et la montée des jeunes dans le car ». Cet arrêt de transport est d’ailleurs alimenté électriquement par un tronçon de chaussée sur lequel est installée la technologie Wattway, conçue également par Colas, qui se compose de 42 dalles photovoltaïques. La solution de signalisation Flowell développée par le groupe Colas a été installée par le département de Vendée (85) à l’arrêt de transport scolaire de La Chabotterie situé dans la commune de Saint-Sulpice le Verdon. Elle entrera en service à partir du 8 janvier prochain.
Constructioncayola.com 03-01-2018
Après la remise en cause du projet de canal Seine - nord Europe, menacé par la pause sur les grands projets d'infrastructures annoncée par Matignon pour cause d'impasse budgétaire, sa gouvernance est passée dans les mains des collectivités, avant tout de la région et des départements des Hauts-de-France, sous la présidence de Xavier Bertrand. Les collectivités doivent désormais garantir l'emprunt nécessaire au bouclage du plan de financement, quelque 900 millions d'euros, intérêts non compris. Elles s'engagent ensuite à préfinancer la trésorerie nécessaire au démarrage du projet. Enfin, elles augmentent leur quote-part jusqu'au milliard d'euros, à l'égal de la participation envisagée de l'Etat. La région Hauts-de-France prend un tiers de ce montant à sa charge. Actuellement, la participation de l'Etat n'est pas soutenue par une ligne budgétaire. L'idée est de créer une nouvelle recette. Il peut s'agir d'une taxe, d'un emprunt à long terme gagé sur une recette régulière. Xavier Bertrand doute de la volonté du gouvernement et ne veut pas d'une recette régionalisée qui rappellerait la défunte écotaxe à laquelle il est très hostile. Une autre inquiétude concerne l'engagement de l'Union européenne, basé sur une aide à hauteur de plus de 2 milliards d'euros, qui se répartit désormais en une tranche ferme et une autre conditionnelle qui devra être réexaminée à Bruxelles. Derrière ces arguments financiers se cache la problématique de la concurrence entre les ports de la rangée nord, du Havre à Rotterdam. Le Premier ministre Edouard Philippe a fixé comme objectif de reconquérir 20 % de parts du marché français sur les ports belges et néerlandais. Les ports normands ne demandent qu'à obtempérer, mais se plaignent de liaisons terrestres insuffisantes avec leur arrière-pays. Le canal Seine - nord Europe est pour eux un tapis rouge déroulé aux ports de Rotterdam et d'Anvers principalement. Et même è Dunkerque qu'ils ne veulent pas voir se développer à leur détriment.
Le Marin 04-01-2018
« Nous allons essayer de régler ce problème qui dure depuis des années et des années de la manière la plus pacifique possible. (…) La force brute ne peut pas être la solution, il faut aussi la capacité de dialogue avec un certain nombre de parties prenantes », a-t-il détaillé. Le ministre a ainsi cité l’exemple « d'un certain nombre d’agriculteurs qui aujourd’hui sont solidarisés avec les zadistes (qui) peuvent avoir la volonté de retrouver ce qu’ils avaient avant ». « On sera obligé à un moment donner d’employer la force, je pense, mais il faut qu’elle soit la plus mesurée possible, la plus maîtrisée possible », a-t-il conclu. Après la remise du rapport d’experts le 13 décembre, l’exécutif a assuré qu’une décision de maintenir ou d’abandonner le projet de construction d’un aéroport à Notre-Dame-des-Landes serait prise « d’ici la fin du mois de janvier ». Cette décision doit « permettre (…) de garantir un retour à la normale, notamment s’agissant des questions relatives à l’ordre public », selon le Premier ministre, Edouard Philippe. Pour mémoire, située à 25 km au nord-ouest de Nantes, cette Zad – « zone d’aménagement différé » pour les autorités, « zone à défendre » pour ses occupants qui souhaitent la protéger – s’étend sur 1650 hectares. Actuellement, environ 150 personnes y vivent en permanence et 200 personnes la fréquentent régulièrement, selon une source policière.
A.F.P. 02-01-2018
Inquiet de voir le gouvernement transférer la responsabilité de l'apprentissage aux branches professionnelles, comme l'a proposé le Medef, le président de Régions de France, Hervé Morin, a demandé le 20 décembre 2017 au Premier ministre de "recevoir en urgence" une délégation de Régions de France en présence de la ministre du Travail. Dans une lettre ouverte à Edouard Philippe, Hervé Morin évoque plusieurs signaux laissant penser que le gouvernement aurait en effet décidé de s'aligner sur la position soutenue par une partie du Medef national. Pourtant, fait valoir l'association, aucune étude, ni aucune évaluation n'ont démontré une quelconque défaillance des régions dans cette mission. "Nous ne comprenons pas cette éventuelle décision de suppression d'une compétence majeure pour l'avenir de nos territoires", insiste le président de Régions de France dans sa lettre, tout en menaçant de mettre "fin à l'ensemble de nos interventions sur ce champ d'action publique" si le gouvernement confirmait ce transfert vers les branches professionnelles. La veille, le 19 décembre, lors d'une conférence de presse organisée au siège de Régions de France, les régions avaient d'ores et déjà annoncé vouloir suspendre leurs investissements concernant l'apprentissage jusqu’en janvier prochain, tout en appelant le gouvernement à la raison. "Tous les projets d’investissement en Normandie sont suspendus jusqu’en janvier ou février 2018", a ainsi signalé Hervé Morin, précisant qu'il s'agissait de "mesures de bonne gestion" et que les régions ne quittaient pas pour autant la concertation en cours, dont la prochaine réunion doit avoir lieu le 22 décembre, avec la réunion du 25 janvier au cours de laquelle un pré-rapport sera présenté.
Caissedesdepotsdesterritoires.fr 22-12-2017
La ministre du Travail, Muriel Pénicaud, s'est donné un objectif précis dans ce domaine : « doubler » le nombre de jeunes apprentis partant en Erasmus, « d'ici à 2022 » pour arriver à 15.000 apprentis français en Erasmus dans cinq ans. Sachant qu'à compter de cette année, 400 millions d'euros sont fléchés en vue de financer 50.000 bourses de mobilité longue « Erasmus Pro », dont 8 à 9 millions pour la France. L'ancien ministre centriste, Jean Arthuis, qui travaille sur le sujet depuis plusieurs années, a été chargé en juillet dernier de proposer des mesures pour lever les freins à la mobilité des jeunes en apprentissage hors de France. Ses propositions devraient être intégrées dans la future loi sur la formation professionnelle. La lettre de mission que la ministre du Travail a adressée au député européen désormais LREM lui donnait jusqu'au 31 décembre pour transmettre ses préconisations. C'est en définitive autour du 15 février qu'il devrait remettre son rapport.
Les Echos 04-01-2018
En 2017, plus de 575.000 formations ont obtenu un financement grâce au compte personnel de formation (CPF), un chiffre en hausse de 16% par rapport à 2016, selon des données obtenues mercredi 3 janvier auprès du ministère du Travail. L'année dernière, 1,45 million de personnes ont activé leur CPF, portant à 5,26 millions le nombre total de comptes ouverts au 1er janvier 2018. Parmi eux, 576.230 ont vu leur projet de formation validé en 2017, a indiqué la délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle (DGEFP), administration du ministère du Travail chargée de la gestion du dispositif. Ce chiffre témoigne d'une montée en puissance du CPF, puisque 209.670 formations avaient obtenu un financement en 2015 et 495.660 en 2016.Après un faux départ en 2015, année de sa création, le nombre annuel de formations financées par le CPF est désormais comparable à celui du droit individuel à la formation (DIF), le dispositif qu'il a remplacé.
Challenges 03-01-2018
Jakarta a inauguré la première liaison ferroviaire entre son centre ville et son aéroport international, ce qui doit permettre de remédier partiellement aux problèmes monstres de circulation dans la capitale indonésienne. Le nouveau train reliera le centre à l'aéroport Soekarno-Hatta en 55 minutes, alors qu'il faut souvent plus du double de temps en voiture pour effectuer le trajet de 38 km. Les autorités espèrent que cette nouvelle offre convaincra les voyageurs d'opter pour le transport public. La capitale construit actuellement son premier métro ainsi qu'un système de métro léger, attendus en 2019. "Après trois ans de durs travaux pour achever ce train vers l'aéroport Soekarno-Hatta, nous pouvons l'inaugurer ce matin et nous savons que ce train est un moyen de réduire les embouteillages à Jakarta", a déclaré le président indonésien Joko Widodo lors de l'inauguration. Environ 11.000 passagers sont attendus chaque jour sur les 42 voyages quotidiens du nouveau train, dont le chantier a coûté 3,6 milliards de roupies (221 millions d'euros). Cette inauguration intervient huit mois avant l'ouverture des Jeux d'Asie dans la capitale indonésienne qui, faute de transports en commun fiables, est une des villes les plus embouteillée au monde.
A.F.P. 02-01-2018
Vinci Energies, filiale du groupe Vinci spécialisée dans l'énergie et les technologies de l'information et de la communication (ICT), vient de conclure un accord avec le fonds d'investissement First Reserve et le management de l'entreprise PrimeLine Utility Services en vue d'acquérir cette dernière. Cette acquisition s'inscrit dans la stratégie de déploiement des activités de Vinci Energies en Amérique du Nord, et le développement de celles liées aux infrastructures d'énergie, portées par sa marque Omexom. Aux Etats-Unis, Vinci Energies est déjà présent dans les domaines de l'industrie et de l'ICT, notamment au travers de ses filiales INP, Redtoo et Mentor. Aux Etats-Unis, PrimeLine Utility Services est un acteur majeur sur le marché de l'ingénierie, des travaux et de la maintenance des réseaux de transport et de distribution d'électricité, ainsi que des réseaux de gaz urbain. L'entreprise est également présente dans le domaine des infrastructures de télécommunications avec le déploiement de réseaux mobiles et de fibres optiques. PrimeLine Utility Services opère à partir de 50 sites répartis dans 25 Etats situés à l'est et au sud des Etats-Unis. Employant 2 900 personnes, elle intervient pour le compte de plus de 150 clients. Elle a réalisé en 2016 un chiffre d'affaire pro forma de 506 millions de dollars (environ 430 millions d'euros). Cet accord est soumis à l'approbation des autorités américaines.
Bousorama 22-12-2018
Paris-Nord Villepinte du 23 au 28/04/2018
Salon dédié au marché européen du béton, World of Concrete Europe revient à Paris en 2018 pour sa deuxième édition et se tiendra à nouveau concomitamment au salon Intermat. Producteurs de matériaux et fabricants de machines et d’équipements, de coffrages et d’échafaudage ou prestataires de services : plusieurs dizaines d’exposants y présenteront leur offre. Quelque 2 000 visiteurs et 500 congressistes sont attendus : entrepreneurs du BTP, distributeurs de produits en béton et d’outils, donneurs d’ordres ou maîtres d’œuvre. Des conférences et des tables rondes thématiques (cycle de vie, économie circulaire, maquette numérique…) seront organisées en parallèle de l’espace d’exposition.
En savoir plus : www.comexposium.com
INTERMAT AVRIL 2018 À VILLEPINTE POUR LES PROFESSIONNELS DE LA CONSTRUCTION
Du Lundi 23 Avril 2018 au Samedi 28 Avril 2018 de 09h00 à 18h00
INTERMAT - le salon international des professionnels de la construction
Le salon donne rendez-vous tous les 3 ans aux fabricants et fournisseurs de matériels, équipements, solutions et techniques pour la construction. Pendant près de 6 jours INTERMAT vous propose un programme de journées dédiées à des thématiques, des conférences, visites de délégation étrangères, démonstrations techniques, mises en relations B2B. Ce ne sont pas moins de 1 350 exposants avec plus de la moitié d’internationaux répartis sur 6 pavillons.
En savoir plus : www.comexposium.com