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L’état de la voirie en ce début de printemps est dégradé et de nombreux nids-de-poule sont visibles sur l’ensemble du réseau routier. Ils demandent une vigilance accrue des conducteurs et peuvent causer des accidents, en particulier dans certaines circonstances. Sous la pluie, les trous se remplissent d’eau et il est impossible d’évaluer leur profondeur. La nuit, sur un deux-roues, motorisé ou non, et même avec un éclairage réglementaire, on ne repère pas toujours les imperfections de la chaussée. Les nids-de-poule ne sont pas une fatalité, mais ils s’expliquent largement par la situation météorologique que l’on connaît au sortir de l’hiver. Lorsqu’il pleut, l’eau s’infiltre dans les fissures de la chaussée, y compris les plus petites, et stagne au-dessous, la fragilisant. Le gel fait gonfler la faille et cause des ramifications à la surface du bitume, qui s’effrite au dégel. Le passage répété de véhicules, surtout de bus et de poids lourds, finit par creuser de véritables trous. Et le phénomène se répète à chaque nouveau cycle de gel et dégel. L’hiver 2018, avec sa succession d’épisodes pluvieux, neigeux et glacés, a été fatal pour le revêtement de nombreuses rues et routes. Les travaux de réparation ne peuvent être entrepris que lorsque la température s’est radoucie et qu’on est assuré qu’il ne gèlera plus. Ce qui explique pourquoi les services de la voirie attendent généralement la fin de l’hiver pour intervenir, au risque d’exaspérer les usagers. Mais au-delà de ces réparations ponctuelles, l’essentiel des travaux consiste en un entretien préventif, explique l’Union routière de France (URF), qui rassemble les acteurs économiques du secteur, des concessionnaires autoroutiers aux organismes de l’industrie automobile en passant par les associations d’usagers. L’entretien courant, qui comprend le comblement des nids-de-poule, ne constitue qu’une petite partie de la maintenance du réseau routier. Plus la route se dégrade, plus il coûte cher de la remettre à neuf. En dix ans, une chaussée moyennement utilisée passe de l’état « excellent » à un état « moyen ». Mais dans les trois années suivantes, si aucune réparation n’a été effectuée, la route passe à l’état « délabré ». « Les montants financiers à mobiliser en cas d’entretien déficitaire peuvent ainsi dépasser dix fois ceux de l’entretien régulier », explique l’URF. L’Etat, parfois accusé du mauvais entretien des routes, n’est responsable que d’une toute petite partie du réseau, seulement 2 %, les autoroutes et les routes non concédées, qui concentrent il est vrai plus de 20 % de la circulation. Les départements et les communes sont chargés de, respectivement, 36 % et 62 % des routes.
Le Monde 30-03-2018
La commission des affaires européennes de l’Assemblée nationale a annoncé, jeudi 29 mars dernier, avoir confié à deux députées, Christine Hennion (LREM, Hauts-de-Seine) et Sophie Auconie (UDI, Agir et Indépendants, Indre-et-Loire), le "soin de réfléchir aux contours d’une politique européenne" pour l’innovation de rupture.
Acteurs Publics 30-03-2018
Nicolas Hulot a annoncé la création d’un Comité de l’accélérateur de la transition écologique dont l’objectif principal sera « d’accompagner et d’appuyer le ministère dans les politiques conduites visant à accélérer la transition écologique ». Présidé par Jean-Dominique Senard, le n°1 du groupe Michelin, ce comité sera composé principalement de personnalités issues du monde économique (Pierre-André de Chalendar, PDG de Saint-Gobain, Laurence Parisot, ancienne patronne du Medef) mais aussi de la recherche ou politique. Il veillera à renforcer le dialogue entre les acteurs publics et les acteurs économiques et financiers, les économistes, les chercheurs mais aussi les spécialistes des questions d’emplois, de compétences et de formation professionnelle. Le ministère insiste sur la nécessiter d’opérer une « transformation en profondeur des modes de vie, des pratiques de consommation et de production » et ce dans tous les domaines : agriculture, industrie, énergie, mobilité, construction…
Lemoniteur.fr 03-04-2018
Invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFM TV et RMC en début de semaine, la ministre des Transports a confirmé qu’une nouvelle taxe sur les poids lourds allait bel et bien voir le jour. « Il y aura une contribution, cela fait partie des choses qui seront présentées au Parlement », a-t-elle ainsi promis. Cette taxe devrait en partie participer au financement des infrastructures ferroviaires, car au gouvernement, a précisé la ministre, « on a une vision globale de la politique des transports, j’ai l’ambition de répondre aux besoins de tous les Français ». Aussi, Elisabeth Borne a-t-elle, elle-même, « mis sur la table la question du financement des infrastructures, notamment comment faire payer tous ces poids lourds en transit dans notre territoire ». Pour l’instant, aucun calendrier n’a été défini quant à la mise en œuvre de cette nouvelle taxe, mais selon la ministre, il est parfaitement « justifié que les poids lourds participent davantage ». Une nouvelle redevance pourrait rapporter « quelques centaines de millions d’euros », estime-t-elle. Post-2019. Pour autant, rien ne devrait être arrêté avant 2019, car le gouvernement aura besoin de temps. « Les modalités sont à débattre, c’est plutôt avec les transporteurs qu’on va discuter des moyens », a souligné Elisabeth Borne.
L’Opinion 03-04-2018
EDF poursuit la fermeture de ses centrales au fioul qu'il a programmée sur la période 2016-2018, en concertation avec les partenaires sociaux. L'électricien a arrêté le week-end dernier la tranche numéro 3 de son unité de Cordemais (entre Nantes et Saint-Nazaire), la plus grosse unité au fioul de son parc avec une capacité de production de 700 mégawatts (MW). Le groupe public avait déjà fermé l'an dernier près de la moitié de sa capacité de production au fioul, à savoir la tranche numéro 2 de Cordemais et la centrale de Porcheville, à côté de Mantes-la-Jolie dans les Yvelines. Outre qu'elle soit polluante, la génération d'électricité à partir du pétrole coûte plus cher en combustible que le nucléaire. Elle est de toute façon peu utilisée par EDF, qui y a recours de manière ponctuelle pour absorber les pics de consommation. Il ne lui reste plus que quelques «petites» centrales de moins de 200MW, qui ensemble pèsent moins de 1% du parc de production national. «À un instant t, les sources d'électricité sont sollicitées en fonction de leur impact environnemental et de leur coût: d'abord les énergies vertes (hydraulique, éolien, solaire), qui ne nécessitent pas de combustible, puis le nucléaire et enfin les centrales thermiques» explique-t-on chez RTE, le gestionnaire des lignes à haute tension. Comme annoncé l'été dernier par le ministre de la transition écologique Nicolas Hulot, les dernières centrales à charbon françaises (3000 MW) fermeront d'ici 2022. Parmi les centrales thermiques, seules subsisteront celles fonctionnant au gaz. La dernière en date a été mise en service en 2016 à Bouchain, dans le Nord. La programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) ne prévoit pas de développer à l'avenir de nouvelles centrales à gaz.
Le Figaro 04-4-2018
Selon les évaluations du ministère de l’Intérieur, une vingtaine de maires ont bouclé les négociations financières avec leur préfet de département. Parmi ceux-ci, le maire de Nice, Christian Estrosi, a officialisé son accord. La métropole de Bordeaux devrait suivre. Ces pactes financiers, qui doivent être ratifiés par les exécutifs locaux, ont été imposés par le gouvernement aux 322 plus grandes collectivités. Par ces contrats, l’Etat veut engager les plus grandes collectivités à contenir autour de 1,2 % par an la progression de leurs dépenses de fonctionnement, avec l’objectif d’afficher auprès de Bruxelles plus de 13 milliards d’euros d’économies à la fin du quinquennat. La loi a fixé un certain nombre de situations de collectivités (démographie, charges sociales, économies déjà réalisées, etc.) pour lesquelles les préfets peuvent assouplir de quelques dixièmes de points de croissance ou de décroissance la pente imposée. D’après l’association France urbaine, environ 20 % des communes et intercommunalités ne sont pas éligibles à l’assouplissement des préfets, simplifiant grandement les négociations. Le gouvernement revendique le principe d’un contrat, puisqu’il garantit aux signataires une stabilité des dotations de l’Etat contre leur engagement à maîtriser leurs dépenses. Les associations d’élus locaux parlent, de leur côté, d’un chantage de l’Etat, tout en conseillant à leurs adhérents de jouer le jeu sous peine de subir les sanctions prévues par la loi. En avril 2019, un premier comptage permettra d’identifier tous ceux qui dépassent la pente de 1,2 % et l’écart sera retranché de leur dotation. Les signataires d’un contrat bénéficieront d’une plus faible sanction néanmoins.
Les Echos 05-04-2018
NGE a annoncé le regroupement des sociétés de son pôle travaux géotechniques et de sécurisation, à savoir Dacquin, GTS, Sotrac et Sud Fondations, au sein d’une nouvelle entité : NGE Fondations. Il y a plus d’un an, en janvier 2017, le groupe NGE annonçait le rachat de Dacquin. A l’époque Christian Altazin, directeur général de GTS et du pôle d’expertise travaux géotechniques et de sécurisation de NGE qui, est désormais à la tête de la nouvelle entité, faisait déjà état d’une complémentarité technique de GTS et Dacquin. Il déclarait: "La complémentarité de nos métiers ainsi que nos implantations géographiques nous permettent d’imaginer un projet de développement commun, nous positionnant comme un acteur majeur de la profession". Présente sur l’ensemble du territoire français avec 19 agences, dont sa filiale Rocs sur l’île de la Réunion, NGE Fondations propose désormais une offre intégrée, unique et complète dans les domaines de la mécanique des sols et des roches et devient ainsi le troisième acteur national des travaux géotechniques. Christian Altazin ajoute: « La création de NGE Fondations nous offre une meilleure visibilité sur le marché, et nous permet surtout de proposer à nos clients publics et privés, une réponse à la fois complète et de proximité sur la maitrise du risque sol, inhérente à l’acte de construire.»
Constructioncayola.com 03-03-2018
Panneaux solaires, cogénération et spiruline : la société française Global EcoPower (GEP) a annoncé le début de la construction d'un complexe énergétique dans le sud de la France qui va produire de l'électricité et des micro-algues. La première tranche du projet, situé à Payra-sur-l'Hers (Aude), combine plusieurs types de production d'électricité, pour une capacité totale de 20 MW. Il comprendra une centrale photovoltaïque au sol de 4,979 MWc (12.800 panneaux sur 6 ha), des panneaux sur la toiture de serres construites sur 7 ha (6,5 MWc), ainsi que deux centrales de cogénération qui produiront électricité et chaleur qui permettra de maintenir une température de 35°C dans les serres. Dans ces serres, des bassins de cultures produiront 40 à 45 tonnes de spiruline par an, produite selon les principes de l'agriculture bio, une algue riche en protéines, utilisée notamment sous forme de complément alimentaire.
Le Figaro 04-04-2018
Après 18 mois de travaux préparatoires, le groupement composé des entreprises Demathieu Bard, NGE, Pizzarotti, Implenia et Atlas Fondations ont lancé le premier tunnelier du Grand Paris Express à Champigny-sur-Marne. Le 22 mars dernier, les équipes du projet ont procédé au baptême du tunnelier et à l’installation de la statue de Saint Barbe dans sa niche au fond du puits. Comme le veut la tradition, un curé de Champigny-sur-Marne s’est aussi chargé de la bénédiction des mineurs et du tunnelier. Ce dernier a été baptisé « Steffie-Orbival », en hommage à l’une des collaboratrices du projet, Steffie, pilote d’une hydro-haveuse qui a participé aux travaux du puits de Champigny et à l’association Orbival, pionnière dans le soutien au projet du Grand Paris Express. Le forage a démarré hier sur le tronçon reliant le puits de Champigny à l’ouvrage de débranchement de Villiers-sur-Marne. La machine creusera le tunnel sur 100 mètres, puis les trois autres remorques composant le train suiveur seront descendues dans le puits et arrimées à la première remorque. Le tunnelier, en configuration définitive, mesurera 106 mètres de long et pèsera 1 450 tonnes et pourra poursuivre, dès le mois de juin, le creusement des 2 060 mètres restants.Dans quelques mois, un second tunnelier creusera les 4650 m entre les futures gares de Noisy-Champs et de Bry-Villiers-Champigny.
Constructioncayola.com 04-04-2018
Du 3 avril au 1er mai, Voies navigables de France (VNF) mène des travaux de maintenance et de rénovation sur le canal du Nord. Des travaux seront réalisés simultanément sur le canal latéral à l’Oise au niveau des grandes écluses de Bellerive et de Janville.
VNF investit 2,6 M€ dans cette opération qui vise à fiabiliser les ouvrages de navigation (écluses, stations de pompage, tunnels...) sur le canal du Nord - en procédant notamment à des travaux d’étanchéité - et à améliorer le service sur cet axe très fréquenté. En effet, chaque année, on compte 10 000 passages de bateaux soit un trafic de 3,4 millions de tonnes de marchandises. Une équipe d’une cinquantaine d’agents sera mobilisée pour réaliser une partie des interventions qui concernent 19 écluses, 2 souterrains et 17 stations de pompage. Les travaux porteront principalement sur la réfection de berges, d’écluses (Graincourt-les- Havrincourt, Moislains, Campagne, Languevoisin, Epenancourt, Pont l’Evèque), d’équipements d’alimentation des bassins d’épargne et des stations de pompage. Le souterrain de Ruyaulcourt sera également rénové au niveau des glissières (éléments de guidage pour les bateaux). Sur le canal latéral à l’Oise, les grandes écluses de Bellerive et de Janville seront mises à sec pour effectuer des travaux d’étanchéité et convertir les organes de manœuvre aux huiles biodégradables. Les petites écluses resteront ouvertes à la navigation. La vidange complète ou partielle de certaines écluses permettra la réalisation de travaux sur le génie civil et les portes.
Constructioncayola.com 03-04-2018
Le projet de loi "avenir professionnel", qui réforme la formation professionnelle, l'apprentissage et l'assurance chômage, a été transmis au Conseil d'Etat et aux partenaires sociaux. Le texte doit être examiné par le Conseil d'Etat et 15 instances consultatives où siègent les partenaires sociaux, avant sa présentation en conseil des ministres, prévue fin avril. Le projet de loi, censé sécuriser les parcours des travailleurs, est présenté comme un complément des ordonnances réformant le code du travail, qui ont donné plus de souplesse aux entreprises. Ses 67 articles mettent fidèlement en musique les annonces du ministère du Travail concernant les réformes de la formation professionnelle, de l'apprentissage et de l'assurance chômage. Ils contiennent aussi des mesures sur l'égalité professionnelle, le handicap, le travail détaché et les fonctionnaires. Le volet "assurance chômage" crée une indemnisation pour les salariés qui démissionnent en vue d'une reconversion professionnelle et pour les indépendants en liquidation judiciaire. Pour les indépendants, la mesure est légèrement élargie par rapport aux annonces initiales du gouvernement, puisqu'elle concernera aussi les dirigeants contraints au départ dans le cadre d'un redressement judiciaire et les conjoints associés qui quittent leur entreprise après un divorce ou une rupture de Pacs. Par ailleurs, le texte donne la possibilité au gouvernement d'instaurer un bonus-malus pénalisant les entreprises qui abusent des contrats courts et de modifier les règles de cumul entre allocations chômage et salaire tiré d'une activité réduite, encadre les négociations des règles d'indemnisation par les partenaires sociaux, modifie le financement de l'assurance chômage et réforme les sanctions contre les chômeurs qui ne remplissent pas leurs obligations. Sur la formation professionnelle, la principale mesure concerne le compte personnel de formation (CPF), qui ne sera plus alimenté en heures, mais en euros. Il sera crédité de 500 euros par an, dans la limite de 5.000 euros, a déjà annoncé le gouvernement. Le volet "apprentissage" contient des mesures de simplification pour attirer plus d'entreprises et de jeunes vers le dispositif. L'âge limite sera porté de 25 à 29 ans révolus, le temps de travail assoupli pour les apprentis mineurs, les ruptures de contrats facilitées et les aides aux entreprises unifiées. Les centres de formation d'apprentis (CFA) basculeront vers un financement au contrat, c'est-à-dire selon le nombre d'apprentis qu'ils accueillent. Le projet de loi contient aussi plusieurs mesures pour lutter contre les fraudes au détachement des travailleurs, notamment une hausse des sanctions financières et la publication quasi automatique des condamnations.
A.F.P. 05-04-2018
Un rapport, remis au gouvernement cette semaine, propose de créer des "labs des métiers de demain", qui mettrait à contribution salariés, apprentis, chômeurs et étudiants pour imaginer les "évolutions des métiers et des formations". Parmi 30 propositions, le rapport, remis aux ministres Jean-Michel Blanquer (Education nationale), Muriel Pénicaud (Travail) et Frédérique Vidal (Enseignement supérieur), préconise de "créer des +labs des métiers de demain+ ouverts à tous ceux qui souhaitent contribuer à les inventer". Ces "lieux d'expérimentations", instaurés dans "quelques branches professionnelles", seraient des lieux "ouverts à tous" permettant "à tous les volontaires de co-construire ensemble les évolutions des métiers et des formations correspondantes", développe l'auteur du rapport, François Taddei, biologiste et directeur du Centre de recherches interdisciplinaires (CRI). Les laboratoires accueilleraient notamment "les salariés du public et du privé, les apprentis, les demandeurs d’emploi et les étudiants" volontaires. Ils pourraient aussi être des lieux où "les salariés eux-mêmes", aux côtés des chercheurs, participeraient "plus activement aux évaluations des formations existantes". Cette proposition fait écho à celle du député LREM et mathématicien Cédric Villani, qui a recommandé dans son récent rapport sur l'intelligence artificielle la création d'un "lab public de la transformation du travail". Parmi les autres propositions du rapport Taddei : créer une "fête de l'apprendre", comme "à Singapour ou en Scandinavie", pour "renouveler l’appétit de formation de tous, à tout âge" ; "bâtir un campus numérique national" fédérant les universités ; créer "un numéro et un carnet d'apprenant" attaché à chaque personne tout au long de la vie ; ou encore "réinventer" la validation des acquis de l'expérience (VAE) grâce aux outils numériques.
A.F.P. 03-04-2018
Le gazoduc, Balticconnector, qui sera mis en service en 2020, doit relier la Finlande au reste du marché énergétique européen afin de réduire la dépendance de ce pays vis-à-vis de la Russie, actuellement son unique fournisseur en gaz. Le coût du projet est estimé à 300 millions d'euros, dont 206 sont assurés par l'Union européenne. Les pays baltes ont partiellement réduit leur dépendance en janvier 2015, lorsque la Lituanie a brisé le monopole du Gazprom en inaugurant le premier terminal flottant GNL dans le port de Klaïpeda. Les travaux de construction doivent commencer cet été et le gazoduc doit être posé sur le fond marin en été 2019. Le tronçon sous marin, à travers le Golf de Finlande, sera long de 77 kilomètres. Le projet prévoit également la construction des parties terrestres et des stations de comptage dans les deux pays.
A.F.P. 30-03-2018
INTERMAT AVRIL 2018 À VILLEPINTE POUR LES PROFESSIONNELS DE LA CONSTRUCTION
Du Lundi 23 Avril 2018 au Samedi 28 Avril 2018 de 09h00 à 18h00
INTERMAT - le salon international des professionnels de la construction
Le salon donne rendez-vous tous les 3 ans aux fabricants et fournisseurs de matériels, équipements, solutions et techniques pour la construction. Pendant près de 6 jours INTERMAT vous propose un programme de journées dédiées à des thématiques, des conférences, visites de délégation étrangères, démonstrations techniques, mises en relations B2B. Ce ne sont pas moins de 1 350 exposants avec plus de la moitié d’internationaux répartis sur 6 pavillons.
En savoir plus : www.comexposium.com
Paris-Nord Villepinte du 23 au 28/04/2018
Salon dédié au marché européen du béton, World of Concrete Europe revient à Paris en 2018 pour sa deuxième édition et se tiendra à nouveau concomitamment au salon Intermat. Producteurs de matériaux et fabricants de machines et d’équipements, de coffrages et d’échafaudage ou prestataires de services : plusieurs dizaines d’exposants y présenteront leur offre. Quelque 2 000 visiteurs et 500 congressistes sont attendus : entrepreneurs du BTP, distributeurs de produits en béton et d’outils, donneurs d’ordres ou maîtres d’œuvre. Des conférences et des tables rondes thématiques (cycle de vie, économie circulaire, maquette numérique…) seront organisées en parallèle de l’espace d’exposition.