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Confronté à des difficultés d'embauche, le secteur des travaux publics s'engage à recruter 50% d'apprentis en plus d'ici à 2023, ainsi qu'à accueillir 16.000 collégiens de 3e en stage d'observation, selon un partenariat signé lundi avec les ministères de l'Education nationale et du Travail. "Après plusieurs années de crise, le secteur des Travaux publics connaît une nette embellie et se retrouve face à un nouvel enjeu : recruter. La filière estime à 200.000 la création de postes dans les cinq prochaines années, et mise entre autre sur l'apprentissage pour recruter", explique la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) dans un communiqué. Dans ces deux conventions, signées lundi entre le président de la FNTP Bruno Cavagné et les ministres Jean-Michel Blanquer et Muriel Pénicaud, les entreprises du secteur "s'engagent à augmenter leurs effectifs d'apprentis de 50% d'ici à 2023 pour atteindre 12.000 apprentis contre 8.000 aujourd'hui". La FNTP va aussi accueillir 16.000 collégiens de 3e dans le cadre de leur séquence d'observation en milieu professionnel durant l'année scolaire 2018-2019, et développer une campagne de communication "audacieuse" vers les 14-18 ans pour leur donner envie de s'orienter vers les métiers du secteur des travaux publics. L'objectif est de "déconstruire les nombreux a priori sur le secteur: les métiers ont beaucoup évolué, la pénibilité y est bien moins présente, on gagne correctement sa vie (+30% par rapport au SMIC en moyenne) et surtout, on peut y faire une belle carrière, l'ascenseur social y est encore une réalité", selon la FNTP.
A.F.P. 08-10-2018
Jérôme Dezobry est nommé président du directoire de l’établissement public “Société du Canal Seine-Nord Europe”.
Acteurs Publics 10-10-2018
François de Rugy, ministre de la Transition écologique et solidaire vient de recruter Sophie-Dorothée Duron en tant que conseillère en charge de la biodiversité, de l’eau et de la mer. Elle, était jusque-là adjointe au sous-directeur de la protection et de la restauration des écosystèmes littoraux et marins (Ludovic Schultz, puis Fabienne Ricard), à la direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature (DGALN), au sein du même ministère, depuis 2015.
Acteurs Publics 08-10-2018
Pour sa 29e convention, l’Association des communautés de France (AdCF) a reçu 4 ministres sur deux jours, à Deauville. Tout au long des plénières et ateliers, plusieurs mots ont résonné plus fort que les autres, comme fiscalité et stabilité. Le président de l’Association des communautés de France (AdCF), Jean-Luc Rigaut, l’a répété à plusieurs reprises en deux jours : être dans le dialogue, dans le compromis permanent, au-delà des clivages politique, c’est la nature même des intercommunalités. Au fil des années, le rôle des « intercos » s’est affiné, leurs compétences se sont élargies pour répondre aux besoins de « bassins de vie » et y bâtir des « projets de territoire ». Cela ne s’est pas fait sans douleur. Les réformes territoriales se sont succédées ces dernière années, notamment avec les lois Maptam, en 2014, puis NOTRe, en 2015. Ce qui a conduit à la fusion, au 1er janvier 2017, de nombreuses intercommunalités (elles sont désormais 1263, contre plus de 2000 un an plus tôt). Elles se retrouvent aussi avec des compétences plus larges au niveau local, concernant notamment le développement économique, l’aménagement du territoire… Désormais, « nous avons besoin de stabilité, nous ne voulons plus de big bang territorial », insiste Charles-Eric Lemaignen, vice-président de l’ADCF.
Lemoniteur.fr 08-10-2018
Menée par les trois associations nationales d’élus (AMF, ADF, Régions de France), le CNFPT et la FNCDG (centres de gestion), la quatrième enquête sur l’emploi territorial a été réalisée par l’institut CSA. Elle a été faite en mai et juin auprès de 806 collectivités et établissements (dont 598 communes, 168 EPCI et une métropole). Premier enseignement de l’enquête : les dépenses de personnel ont continué à stagner en 2018 pour « la moitié des répondants ». 40 % des répondants ont dû augmenter leurs dépenses – principalement des communautés de communes et des régions, plus impactées que les autres par les transferts de personnel. 9 % des répondants ont, en revanche, diminué leurs dépenses de personnel. Pour limiter les dépenses, 46 % des collectivités et établissements ont eu recours à la limitation des remplacements, 30 % sur le non-renouvellement des contrats et 27% au non-renouvellement des départs en retraite. On apprend également dans cette étude que six collectivités sur dix ont mis en place le Rifseep (Régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel). Cela s’est traduit dans 35 % des cas par une hausse globale du régime indemnitaire, et dans 61 % des cas par un « maintien » de celui-ci. Chaque année depuis le lancement de cette enquête annuelle, en 2015, le taux de collectivités et EPCI qui envisagent de recruter dans l’année en cours augmente : il est passé de 17 % en 2015 à 36 % aujourd’hui – là encore essentiellement à la suite des transferts de charges. Le remplacement des départs est toujours la cause majoritaire de recrutement (51 % des cas), et les créations pures de postes, en 2018, ne sont prévues que dans 13 % des cas. L’étude relève une « évolution à la hausse » de la volonté de créer des postes dans les secteurs « du social, de la sécurité et de la santé ».
Maire-info 09-10-2018
Le secteur mondial de la construction devrait connaître une croissance moyenne de 3,6% par an entre 2018 et 2022, prédit le cabinet d’étude GlobalData, pour atteindre un CA global de 12,9 billions de dollars. Le dernier rapport de GlobalData, intitulé "Perspectives mondiales de la construction à l’horizon 2022 : 3e trimestre 2018", estime à 12,9 billions de dollars le chiffre d’affaires d’ici 2022, contre 10,8 billions de dollars en 2017. "Nous prévoyons que la croissance mondiale s’accélèrera à +3,6% en 2018 - contre +3,1% en 2017 - en raison de la reprise observée aux Etats-Unis et des performances des marchés émergents. En Asie du Sud et du Sud-Est, par exemple, l’Inde repart de plus belle tandis que la remontée des cours du pétrole soutient la croissance au Moyen-Orient et en Afrique", commente Danny Richards, analyse en charge de la construction chez GlobalData. Le rythme de la croissance mondiale devrait également s’améliorer pour atteindre +3,7% entre 2019 et 2020, avant de ralentir. La région Asie-Pacifique continue de tirer le secteur par le haut. Toutefois, le rythme de croissance baissera compte tenu du ralentissement annoncé de la construction en Chine (+4,2% entre 2018 et 2022). Il sera néanmoins compensé par l’accélération de la croissance en Inde.
Constructioncayola.com 08-10-2018
Eurovia a testé avec succès la réfection d'un tronçon d'autoroute avec un revêtement issu du recyclage de l'ancienne chaussée. Les innovations se bousculent. Le test s'est déroulé la semaine dernière à Pons-Saint-Aubin (Gironde) sur l'autoroute A10, du réseau ASF, et c'est un succès : Eurovia (groupe Vinci) a réussi la réfection d'un tronçon d'autoroute 100% par recyclage. « Sur un kilomètre de voie lente de l'A10, le test consistait à enlever le revêtement existant pour le retraiter à une dizaine de kilomètres, dans la première usine mobile capable de fabriquer à chaud des enrobés routiers contenant jusqu'à 97 à 98 % de matériaux recyclés », explique Ivan Drouadaine, directeur du centre de recherche d'Eurovia, à Mérignac. « Nous avons ainsi refait en 100% recyclé les trois couches de la voie : la fondation, la base et la couche de roulement des véhicules », ajoute-t-il. Selon Nicolas Hautière, spécialiste de la route à l'Institut français des sciences et technologies des transports (Iffstar), « Vinci est le premier au monde à le faire sur autoroute ». La route 100% recyclée existait déjà, mais en fabrication à froid, ce qui limite sa résistance et la réserve aux routes à trafic modéré. A chaud, procédé moins maîtrisé, l'Allemagne et le Japon montent à un taux de recyclage élevé sur des axes à fort trafic, mais la France est la première à flirter avec les 100%, et obtenir un revêtement de surface de qualité autoroutière. Cette avancée est d'autant plus importante que « les axes à fort trafic ont une structure de chaussée plus épaisse, ce qui rend le recyclage des matériaux particulièrement intéressant », poursuit Ivan Drouadaine. Le coût de l'autoroute 100% recyclée est proche du neuf. Si on économise en matériau, le temps de préparation est en revanche supérieur et l'usine d'enrobage plus sophistiquée. Mais les gains environnementaux sont considérables. Chaque année en France, la route avale de 35 à 40 millions de tonnes d'enrobés bitumineux et notre pays n'affiche qu'un taux de recyclage de 18%. La résistance du tronçon test d'Eurovia va être suivie durant deux ans par un organisme public, le Cerema, pour juger de sa durabilité.
Les Echos 10-10-2018
NGE conforte ses positions sur les marchés de génie civil du Grand Paris Express (GPE). La Société du Grand Paris (SGP) a en effet attribué, le 9 octobre 2018, un marché de génie civil d’un montant de total de 54,8 M € (HT) pour la réalisation du centre d’exploitation des lignes 16 et 17 du GPE, situé sur les communes d’Aulnay (Seine-Saint-Denis) et Gonesse (Val-de-Marne). Il est attribué à un groupement d’entreprises piloté par Guintoli (mandataire), et composé de NGE Génie Civil et EHTP. Les trois entreprises sont des filiales de NGE. Dans le détail, ce marché comprend la construction de la plateforme sur laquelle seront ultérieurement posées les voies ferrées et les bâtiments, les voiries et les réseaux divers (assainissement, caniveaux et fourreaux techniques…). Le marché de travaux pour la construction des bâtiments et des installations de maintenance et de supervision sera, lui, attribué fin 2019. Des marchés d’équipements ferroviaires seront également notifiés. Ils concernent entre autres la voie ferrée, la caténaire, la traction et les réseaux électriques de traction et de distribution haute-tension/basse-tension. « La mise en chantier de cet équipement revêt une dimension stratégique à plusieurs titres, indique Thierry Dallard, président du directoire de la SGP, dans un communiqué. Centre névralgique pour l’exploitation des lignes 16 et 17 du Grand Paris Express et la maintenance des trains, le centre d’exploitation d’Aulnay va permettre la création d’environ 350 emplois. Les travaux débuteront à la fin de l’année, dès l’obtention des autorisations environnementales et d’urbanisme ». Le centre d’exploitation d’Aulnay comprend un poste de commandement centralisé (PCC), un site de maintenance et de remisage du matériel roulant (SMR) et un site de maintenance des infrastructures (SMI) pour les lignes 16 et 17 du GPE. C’est par ce centre que transiteront toutes les informations relatives à l’exploitation et à la supervision des lignes. C’est aussi depuis cet équipement que seront assurés le commandement de la circulation des trains, la surveillance du trafic en temps réel, la régulation du trafic et l’organisation du retour à la normale en cas d’incident. Les trains des deux lignes seront livrés dans ce centre d’exploitation. Le centre d’exploitation est situé sur les anciens terrains de PSA.
Lemoniteur.fr 10-10-2018
La FNTP a signé, lundi 8 octobre 2018, un plan d’actions avec le ministère du Travail pour augmenter le nombre d’apprentis de 50 % en 5 ans, pour atteindre un total de 12 000 apprentis dans la branche des travaux publics. Il s’appuie sur l’étude prospective menée sur les métiers du secteur lancée dans la cadre du PIC, notamment pour l’adaptation de la carte des formations. C’est le cas également pour la convention signée le même jour avec le ministère de l’Éducation nationale, qui prévoit notamment de favoriser les parcours mixant statut scolaire et apprentissage. C’est assez rare. Historiquement, nous n’avons pas d’autres exemples qu’un ministre du Travail et un ministre de l’Éducation nationale tiennent le même discours sur l’apprentissage et s’engagent dans le même sens. C’est l’un des acquis de la réforme", explique Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, à l’occasion de la signature d’une convention entre la FNTP et l’Éducation nationale, et d’un engagement entre la FNTP et le ministère du Travail, lundi 8 octobre 2018. Le premier document définit les actions partenariales à mener entre l’Éducation nationale et la branche dans le champ de l’orientation, tandis que le second, avec le ministère du Travail, engage la FNTP sur l’augmentation de 8 000 à 12 000 du nombre d’apprentis dans le secteur. "La loi prévoit qu’entre les classes de quatrième et de première, 54 heures soient consacrées à la découverte des métiers, seulement rien ne se passera si les acteurs ne se saisissent pas des opportunités créées comme l’illustrent ces deux partenariats", poursuit Muriel Pénicaud. De son côté, le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, souligne l’engouement croissant pour l’alternance, lié notamment à la médiatisation des différentes étapes de la réforme. Dans un contexte où la branche des travaux publics prévoit 200 000 recrutements, avec des enjeux majeurs sur l’entretien des infrastructures routières, des canalisations ou des ponts, ces engagements revêtent un intérêt stratégique avec un enjeu de visibilité. "Nous lançons une campagne de communication pour changer le regard des jeunes sur les métiers des travaux publics, intitulée "Franchement Respect", qui s’adresse aux collégiens et lycéens sous la forme d’un rap", souligne Bruno Cavagné, le président de la FNTP. Une initiative étroitement liée aux deux conventions, précise-t-il. "Au-delà de cette campagne, le premier étage de notre stratégie, c’est la convention sur l’orientation, bien orienter est primordial et dans une collaboration avec l’Éducation nationale nous avons une marge de manœuvre pour progresser. Nous souhaitons par exemple doubler à 16 000 le nombre de stagiaires de troisième dans notre branche. Le deuxième étage concerne le développement quantitatif et qualitatif de notre offre de formation dans une collaboration avec le ministère du Travail, qui prévoit une augmentation de 50 % des apprentis", poursuit Bruno Cavagné, qui souligne que la branche a engagé un contrat d’étude prospective dans le cadre du PIC, sur l’évolution des métiers de la branche. Le plan global pour augmenter le nombre d’apprentis dans la branche s’articule autour de sept axes principaux dans le champ de la promotion des métiers, de la santé au travail pour les apprentis, de leur accompagnement social pendant la formation et en fin d’étude… Pour améliorer la qualité des cursus, il prévoit des stages pour les formateurs de CFA en entreprise et des visites de ces derniers dans les centres de formation. Au programme également : le développement d’Erasmus+ ou encore l’intégration des compétences émergentes, identifiées dans le cadre du contrat d’étude prospective. Pour renforcer la collaboration entre les centres de formation et la profession, il s’agit de mettre en place et piloter le réseau des centres de formation de la profession "Excellences TP". Et pour favoriser la mise en relation des entreprises et des apprentis, une bourse de l’apprentissage sera développée dans la rubrique "emplois" sur fntp.fr. Des forums dédiés à l’apprentissage dans la branche seront par ailleurs organisés en région, et le dispositif de l’Ordre des tuteurs des Travaux publics sera renforcé. La convention triennale avec le ministère de l’Éducation nationale prévoit d’inciter aux visites d’entreprises et de développer les interventions des professionnels dans les classes. Elle appelle aussi au développement de l’alternance. Pour ce faire, elle souhaite favoriser les parcours mixant statut scolaire et apprentissage ou encore s’appuyer sur les données réunies par le contrat d’étude prospective ou l’observatoire des métiers de la branche pour rénover des diplômes ou adapter certaines formations. Elle prévoit également que ses signataires "veilleront à faciliter l’accès des salariés aux dispositifs de VAE (validation des acquis de l’expérience) ainsi qu’à celui du CPF (compte personnel de formation), en développant des actions de communication en direction des entreprises et des salariés".
A.E.F 10-10-2018
"Les ouvriers intérimaires sont-ils plus exposés aux risques professionnels ?", est le titre de l'étude menée par la Direction de l'animation de la recherche, de l'économie et de la santé (Dares) du ministère du Travail, dont les résultats ont été publiés mercredi 10 octobre 2018. En France, 80 % des salariés temporaires sont des ouvriers : l'analyse compare donc l'exposition aux risques professionnels des ouvriers intérimaires par rapport à ceux qui sont en temps plein. Pour rappel, le Code du travail stipule "une égalité de traitement" entre les salariés temporaires et permanents. Mais, il s'avère que, majoritairement, les ouvriers intérimaires sont plus exposés aux risques professionnels. A cela, plusieurs raisons d'après la Dares. Tout d'abord, les salariés temporaires sont missionnés dans la construction et la logistique, des métiers plus exposés aux risques physiques et chimiques. C'est ce qui expliquerait la différence d'exposition aux travaux répétitifs (29 % pour les temporaires contre 21 % pour les permanents). Dans la même veine, les métiers exercés par les intérimaires ont un rythme de travail plus contraint, 51 % d'entre eux expliquent qu'ils sont soumis à au moins trois contraintes de rythme (42 % pour les permanents). Un quart d'entre eux précise dépendre de la cadence automatique d'une machine, tandis que 23 % indiquent dépendre du déplacement automatique d'un produit, contre 11 % de salariés permanents. La Dares estime aussi que les travailleurs temporaires sous-évaluent les risques professionnels auxquels ils sont exposés. L'exposition aux produits chimiques serait ainsi moins bien connue par les médecins du travail. Pour près d'un quart des intérimaires (23 %), l'intensité de l'exposition aux produits dangereux n'est renseignée nulle part, contre 18 % des salariés permanents. Autre élément, face à un agent cancérogène, la Dares indique que les salariés temporaires ne disposent d'une double protection (individuelle et collective) que dans 18 % des cas, contre 28 % pour les autres salariés. De plus, pour la moitié des intérimaires, aucune protection n'est signalée à la médecine du travail. Ensuite sur l'étude des risques psychosociaux, la Dares indique que si les salariés temporaires sont moins autonomes au travail, ils souffrent moins de pressions psychologiques ou d'un manque de reconnaissance. Cependant, du fait de leur contrat temporaire, ils se sentent moins en sécurité en terme socio-économique que les salariés permanents. Les médecins alertent donc face à une moins bonne prévention des risques, en effet, ils sont une majorité à juger que la qualité de la prévention est "mauvaise" ou "très mauvaise". Preuve que des efforts restent à faire pour protéger la santé de tous les ouvriers.
Batiactu.com 10-10-2018
La Banque européenne d'investissement (BEI) apportera son soutien à la construction du parc éolien Northwester 2 au large des côtes belges au moyen d'un prêt de 210 millions d'EUR. Près de la moitié de ce montant sera garantie par le Fonds européen pour les investissements stratégiques (EFSI), principal pilier du plan d'investissement pour l'Europe de la Commission Juncker. Le projet aura un coût total d'environ 642 millions d'EUR. Northwester 2 est le quatrième projet éolien soutenu par l'EFSI au large des côtes belges. Une fois achevé, ce parc de 23 turbines produira environ 219 mégawatts (1) ce qui permettra de fournir de l'énergie verte à 220.000 familles belges. La construction devrait commencer en mai 2019, vu que les travaux sur les fondations doivent s'interrompre entre janvier et avril afin de ne pas déranger la reproduction des mammifères marins. Le projet devrait être inauguré en 2020. Lors de la construction, le projet devrait créer plusieurs centaines de années-personnes d'emploi, puis 20 postes permanents une fois opérationnel. Un nouveau type d'éolienne construit par MHI Vestas et d'une capacité nominale de 9,5 mégawatts y sera installé.
Laviedesreseaux.fr 09-10-2018
Ivoire Hydro Energy a confié à Eiffage le contrat de conception-construction de l’aménagement hydroélectrique de Singrobo-Ahouaty en Côte d’Ivoire. Celui-ci s’élève à un montant de près de 110 millions d’euros. Sur ce projet, Eiffage sera en charge de la conception-construction du génie civil ainsi que de la fabrication, l’installation et la mise en service de l’ensemble des équipements hydromécaniques, électromécaniques et électriques de cette centrale de 44 MW. Seront réalisés un barrage mixte en enrochements et en béton, un évacuateur de crues, une usine abritant les turbines, un canal de rejet, un poste de départ de la ligne connectant la centrale au réseau, des installations temporaires et des voies d’accès. Les expertises d’Eiffage Génie Civil et d’Eiffage Énergie Systèmes seront mobilisées dans le cadre de ces travaux, qui débuteront au 1er trimestre 2019 et seront réalisés sur un délai de trois ans.
Constructioncayola.com 10-10-2018
Du 20 au 22 novembre 2018
Le rendez-vous business de référence du marché
des collectivités locales.
Lieu d’exposition : Paris Expo Porte de Versailles
Stand FNTP Hall 2.2
Renseignements : 01.44.13.31.82