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Les entreprises chinoises dominent le classement du Top 100 des groupes mondiaux de la construction en termes de chiffre d’affaires. Trois des plus grands groupes chinois représentent environ 30% des ventes totales du secteur et c’est un groupe chinois, China State Construction Engineering, qui occupe la première place avec plus de 138 milliards d’euros de chiffre d’affaires.
Le Japon, la France, les Etats-Unis, la Corée du Sud, l’Espagne et le Royaume-Uni sont également bien positionnés.
Ce leadership chinois s’explique principalement par l’importance du marché national, les ventes à l’international représentant une part plus faible en Chine que dans d’autres pays. Sur le plan des ventes à l’international, c’est l’espagnol ACS et le français Vinci, suivis de quatre entreprises européennes, qui figurent dans le Top 10.
La capitalisation boursière des entreprises du Top 30 s’élève à 381 096 millions d’euros : un montant légèrement plus élevé qu’en 2016 et 50% plus élevé qu’en 2007 (date du début de la crise financière). Vinci, classée 5ème en termes de chiffre d’affaires, enregistre la plus haute valeur en 2017.
L’internationalisation des activités de construction et la diversification des portefeuilles ont été deux des stratégies les plus importantes mises en œuvre dans les plus grands groupes de construction depuis quelques années. En 2017, 23% du total des ventes ont été réalisées à l’international, et 23% ont eu pour origine des activités hors construction. Ces deux stratégies ont été davantage mises en place en Europe qu’en Asie ou aux Etats-Unis.
Un investissement en infrastructures de 69,4 billions de dollars sera nécessaire de 2017 à 2035, ce qui représente environ 4.1% du PIB produit sur cette même période. Plus de 60% de ces investissements seront effectués dans les économies émergentes, plus particulièrement en Asie, et 20% d’entre eux seront réalisés aux Etats-Unis et au Canada.