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Dans un contexte de reprise de l’activité dans les Travaux Publics, la FNTP et Euler Hermes, spécialisé dans les domaines de recouvrement et de caution, ont signé un partenariat afin de permettre aux entreprises adhérentes d’obtenir plus facilement leurs cautions de marchés. Les Travaux Publics sortent la tête de l’eau. Après une reprise de l’activité estimée à 2,5% en 2017, la profession mise sur une croissance de 4% cette année. Les carnets de commande se remplissent. Mais la tension sur des trésoreries longtemps éprouvées est potentiellement importante. C’est dans ce contexte que la FNTP et Euler Hermes, entreprise spécialisée dans les domaines de recouvrement et de caution, ont signé une convention de partenariat. L’objectif : permettre aux adhérents de la fédération d’obtenir plus facilement leurs cautions de marchés, qui remplacent les garanties financières exigées par les clients. « L’objectif de la caution, c’est de rassurer le donneur d’ordre quant à la capacité du contractant à exécuter ses obligations et à respecter le cahier des charges imposé », rappelle Gilles Goaoc, directeur du département spécialités chez Euler Hermes France. Euler Hermes proposera un accès facilité à sa plateforme d’émission de cautions électroniques ehcaution.fr aux 8000 adhérents de la FNTP, à des conditions tarifaires préférentielles. Des experts interviendront également dans des événements organisés par la fédération, pour un volet plus pédagogique. « Ce partenariat est l’occasion de mettre à disposition de nos entreprises un nouveau service à valeur ajoutée à des conditions avantageuses, estime Bruno Cavagné, président de la FNTP, et d’assurer un suivi plu fin de notre secteur. »
Lemoniteur.fr 21-02-2018
Régis Lambert a été réélu président de l'Union Nationale des géomètres-experts (UNGE), à l'occasion des Rencontres nationales de l'organisme qui se sont déroulées les 1er et 2 février au Palais des Papes en Avignon. Il occupe ce poste depuis décembre 2016, et "cette élection confirme donc la confiance que lui octroient les adhérents", d'après un communiqué de presse de l'UNGE. "A travers le bilan de l'étape 1 du projet de l'UNGE (2016-2018) et surtout la présentation de l'étape 2 (2018-2020), il a réaffirmé son intention de développer le syndicat à travers ses 5 axes forts que sont l'influence, la promotion du métier, les territoires, le paritarisme et les services aux adhérents."
Batiactu.com 14-02-2018
Selon des chercheurs allemands, plus d’une grande métropole sur deux pourrait dès 2050 manquer d’eau et subir des ruptures de son approvisionnement. Ainsi, l’avenir pourrait être marqué par un rationnement de l’eau potable dans les grandes villes, dans à peine une trentaine d’années. Il faut savoir que la demande en eau a quadruplé dans le monde au cours des 60 dernières années, en raison de l’essor démographique et d’un exode rural toujours plus important. Cette hausse est aussi due à un meilleur accès aux infrastructures mais également à l’augmentation des besoins. Le fait est que cette demande en eau pourrait augmenter de 80 % d’ici à 2050 ! Dans un tel contexte, difficile d’être optimiste, surtout que la situation actuelle est dictée par le réchauffement climatique, une situation qu’une ville telle que Le Cap (Afrique du Sud) subit actuellement de plein fouet. Les chercheurs de l’Université de Kassel (Allemagne), dont l’étude a été publiée dans la revue Nature Sustainability le 8 janvier 2018, sont formels : de plus en plus de personnes seront touchées par le manque d’eau, et si aujourd’hui c’est le cas d’environ 50 % de la population, ce taux atteindra 66 % en 2050. Les scientifiques ont étudié l’évolution des ressources en eau de 482 grandes villes aux quatre coins du globe accueillant aujourd’hui 736 millions d’habitants. Le type de scénario business as usual a été retenu dans le cadre de ces analyses, c’est-à-dire un développement où les actions de lutte contre le réchauffement global sont mitigées. À partir de ce scénario, deux possibilités ont été évoquées : celle où les citadins sont prioritaires pour l’accès à l’eau et celle où les habitants des villes seraient rationnés. Les villes les plus menacées sont situées en Asie du Sud et en Amérique du Nord : Los Angeles (États-Unis), Jaipur (Inde) et Dar es Salaam (Tanzanie), pour ne citer que ces dernières. Ces villes connaîtront des déficits certains de leurs eaux de surface, estimés à plus de 400 millions de mètres cubes par an ! En ce qui concerne les eaux souterraines (nappes phréatiques), le constat est encore plus alarmant. En effet, les chercheurs ont estimé que l’empreinte hydrique des villes, dont le but est de mesurer l’excès de la consommation en eau par rapport a la régénération des nappes, pourrait doubler – voire plus – pour 116 villes d’ici à 2050. Par ailleurs, les conflits ville/campagne pourraient se multiplier, surtout que dans les campagnes l’eau est utilisée pour l’irrigation, donc pour l’agriculture mais aussi l’élevage.
Laviedesreseaux.fr 20-02-2018
Les entreprises chinoises cumulent 28% d’un CA de 226,9 milliards de dollars. Les Etats-Unis suivent derrière avec une part de 25%. Le classement de Brand Finance Engineering & Construction compte 6 entreprises américaines et six chinoises. Si en 2017 les deux pays étaient à égalité, chacun représentant un peu moins de 27% de la valeur totale du classement, cette année, les entreprises chinoises prennent le dessus. Leur valeur cumulée est passée de 58,3 milliards d’euros à 57,3 milliards d’euros en raison du recul de 9% enregistré par General Electric. L’entreprise chinoise la plus puissante est la China State Construction Engineering Corporation (CSCEC) qui progresse de 19% à 25 milliards de dollars. Elle passe ainsi devant l’allemand Siemens en 2e position. La force de CSCEC s’est également améliorée de 6% atteignant 71,2 sur l’indice de force (BSI), ce qui place l’entreprise au-dessus de ses consoeurs chinoises. La China Railway Construction Corporation (CRCC) a également connu une bonne année avec une valeur de 12,2 milliards de dollars en hausse de 18%, tandis que Metallurgical Corporation of China (MCC) progresse de 9%. La China Railway Group (CRECG) en revanche perd 8% de sa valeur à l’instar du constructeur CRRC Corporation qui en perd 6% et passe de la 8e à la 11e place. La croissance la plus forte va à la China Communications Construction Company (CCCC) qui améliore ses performances de 33% en un an à 4,6 milliards de dollars. Les sociétés de construction chinoises devront faire face à un marché domestique plus difficile en 2018 après que le pouvoir a renouvelé sa promesse de se concentrer sur la gestion de la dette. Les analystes prévoient une baisse de la croissance des investissements chinois dans les infrastructures à +12% contre +20% au cours des 10 premiers mois de 2017 malgré l’impulsion de la Nouvelle Route de la Soie. Avec 900 milliards de dollars de projets prévus ou en cours pour relier la Chine à l’Asie, l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique de l’Est, les autorités chinoises investiront environ 150 milliards de dollars par an. Malgré ses difficultés - General Electric affiche une contraction de sa valeur de 9% à 32 milliards de dollars et une chute de 39% de sa valeur depuis 2014 - le géant américain reste la marque d’ingénierie et de construction la plus forte du monde. De même, la marque allemande Siemens (en baisse de 5% à 22 milliards de dollars) se maintient grâce à l’essor des énergies renouvelables.
Constructioncayola.com 21-02-2018
Le transport fluvial de marchandises a légèrement baissé en 2017 (-1,8% en tonne-kilomètre), la hausse de plusieurs filières n'ayant pas compensé les effets prolongés d'une mauvaise récolte de céréales en 2016-2017, a annoncé Voies navigables de France (VNF). Le fret fluvial dans l'Hexagone s'établit à 6,71 millions de t-km - unité de mesure correspondant au transport d'une tonne de marchandises sur un kilomètre - transportées. La "belle croissance des filières industrielles et des matériaux de construction" ainsi que la "reprise des trafics de céréales au second semestre" n'ont pas "compensé les effets de la très mauvaise campagne céréalière de 2016-2017" qui a continué a peser sur les six premiers mois de l'année, a précisé VNF. La filière agroalimentaire, principale utilisatrice de transport fluvial avec la filière des matériaux de construction, a ainsi enregistré une baisse de 15,6% en t-km sur l'année, malgré une hausse de 20,9% au second semestre par rapport à cette même période en 2016, a indiqué VNF. Les filières métallurgie (+13,6%), engrais-chimie (+6,8%) et matériaux de construction (+6,9%) ont toutes progressé sur un an. "Le logement constitue le principal vecteur" de la croissance des trafics de matériaux de construction, indique VNF, ajoutant que cette filière constitue "la première contributrice à la hausse" pour le mode fluvial. "Pour 2018, la reprise du trafic céréalier ainsi que le dynamisme des filières de l'industrie et des matériaux laisse présager une amélioration de l'activité", pour VNF. Plombé par les céréales, le bassin de la Seine affiche une baisse du trafic de 1,1% en t-km. Le réseau nord cède 4,7% en t-km "du fait du repli de la filière agroalimentaire et des produits énergétiques". Sur le Rhin, le trafic, "très pénalisé au premier semestre par les basses-eaux", est en baisse de 1,7% en t-km sur un an. La baisse est marquée pour le trafic intérieur (-3,2% en t-km), tandis que le trafic international a connu une hausse de 2,8% pour les importations et de 3,6% pour les exportations.
A.F.P. 20-02-2018
Le 20 février, l'hôtel de Lassay à l'Assemblée nationale a traditionnellement accueilli la cérémonie de remise des trophées Eco Actions à des collectivités pour leurs actions innovantes sur le plan environnemental. Organisé par les Eco-Maires avec l'appui de réseaux d'élus comme Villes de France, l'AMF ou l'Association des maires ruraux (AMRF), ce concours a distingué, parmi environ 200 dossiers reçus, dix collectivités dans sept catégories et quatre dans les outre-mer (concours des outre-mer durables). Le premier prix a été attribué à la ville de Rosny-sous-Bois pour récompenser l'écoconstruction de son école des Boutours. Cette municipalité de Seine-Saint-Denis a fait un effort de maîtrise d'œuvre, sans qu'une réglementation ne l'impose, en ayant recours à des matériaux biosourcés (bois, briques de terre crue). Choix suffisamment rare pour être souligné dans le cas d'un établissement recevant du public (ERP), les murs de la seconde école, qui fut construite sur les fondations d'une ancienne halle de marché, intègrent de la paille porteuse. Une réalisation reconnue pour être l'un des exemples les plus aboutis d'écoconstruction de bâtiments scolaires, qui a déjà tapé dans l'œil des jurys d'autres concours (édition 2017 de la Capitale française de la biodiversité, voir notre article du 3 octobre 2017). Le second prix revient à la ville de Morne-à-L'Eau (Guadeloupe) pour la réhabilitation d'une ancienne décharge. Un travail de réintégration paysagère phasé, en tenant compte de la pollution du site puis de sa préparation à une seconde vie et sa transformation en pôle de découverte pédagogique et de protection des zones humides. La communauté d'agglomération du Grand Narbonne (Aude) a décroché le troisième prix sur un tout autre enjeu, celui de la sensibilisation en interne de ses agents aux éco-gestes au travail.
Caissedesdepotsdesterritoires.com 21-02-2018
Le groupement mené par Vinci Construction (Dodin Campenon Bernard, mandataire, Vinci Construction France, Vinci Construction Grands Projets et Botte Fondations) associé à Spie Batignolles (Spie batignolles génie civil et Spie batignolles fondations), remporte un nouveau contrat dans le cadre du projet du Grand Paris Express. La RATP, maître d’ouvrage, a retenu l’offre de ce groupement pour la réalisation du lot GC02 de la future ligne 14 sud, qui reliera la station Olympiades (XIIIème arrondissement de Paris) à l’aéroport d’Orly. Le marché d’un montant de près de 400 millions d’euros HT, porte sur la réalisation d’un tunnel de 4,6 kilomètres entre la future gare de Maison Blanche Paris XIII et le puits d’introduction du tunnelier à Jean Prouvé, foré avec un tunnelier à pression de terre. Il inclut également la construction de la nouvelle gare Kremlin-Bicêtre Hôpital (Val de Marne) et de cinq puits de ventilation et de secours. La durée totale du contrat est de 72 mois. Situé au coeur du sud parisien, le chantier du lot GC02 traverse les communes de Paris, Le Kremlin-Bicêtre, Gentilly, Villejuif et L’Haÿ-les-Roses. Il s’inscrit également à proximité de l’hôpital du Kremlin Bicêtre et de l’autoroute A6. L’intégration de ce chantier dans les territoires traversés est un enjeu majeur, qui a donné lieu à de nombreuses concertations entre la RATP, la Société du Grand Paris (SGP) et l’ensemble des villes, collectivités, et riverains concernés par le projet. Chaînon manquant entre le centre de Paris et l’aéroport d’Orly, la ligne 14 Sud, longue de près de 14 km, comporte sept nouvelles gares et un site de maintenance. Elle offrira des correspondances avec la ligne 7 du métro, le RER C, le tramway 7 et avec les lignes 15 Sud et 18 du Grand Paris Express. Elle créera une liaison rapide entre Paris et l’aéroport d’Orly, essentielle pour les Jeux Olympiques de Paris en 2024. Suite à une convention signée le 24 février 2015, la Société du Grand Paris (SGP) a transféré temporairement la maîtrise d’ouvrage de la ligne 14 sud à la RATP. Celle-ci prend en charge la maîtrise d’ouvrage opérationnelle études et travaux de l’infrastructure et celle du système de transport. La SGP, qui assure le financement de cette ligne conserve par ailleurs la responsabilité des acquisitions foncières, des projets de valorisation connexes et des relations avec les collectivités territoriales. Difficulté supplémentaire, deux des sept gares sont exclues du périmètre RATP : celle de Villejuif-Institut Gustave Roussy (IGR) en interconnexion avec la ligne 15 sud reste sous maîtrise d’ouvrage de la SGP ; celle de l’aéroport d’Orly sera construite par ADP. Les travaux du lot GC02 nécessiteront la mobilisation de près de 250 personnes.
Lemoniteur.fr 20-02-2018
L'Agence française pour la biodiversité (AFB) a annoncé avoir donné son feu vert "avec réserves" au projet de parc éolien en mer du Tréport (Seine-Maritime), contesté notamment par les pêcheurs locaux qui s'inquiètent de l'impact sur une zone très poissonneuse. L'avis conforme du Conseil d'administration de l'Agence était nécessaire pour la poursuite du projet car une partie de son périmètre se trouve dans le Parc naturel marin des estuaires picards et de la mer d’Opale, qui dépend de l'AFB. Le groupe Engie et ses partenaires, le groupe ibérique EDPR et la Caisse des Dépôts, ont remporté en 2014 l'appel d'offres pour la construction et l'exploitation de ce parc éolien en mer de près de 500 mégawatts. Le projet prévoit l'installation de 62 éoliennes au large du Tréport à partir de 2019, pour une mise en service partielle d'ici 2021. Engie, qui est en train de développer un autre parc éolien en mer près de l'île de Noirmoutier, s'était inquiété en janvier de l'éventualité d'un avis défavorable de l'AFB qui aurait été "un signal très négatif" pour la filière éolienne en mer française. "La décision du conseil d’administration est une position d'équilibre, et le résultat d'une vraie concertation avec les différents acteurs", a commenté dans un communiqué le président de l'AFB Philippe Martin, estimant que les inquiétudes du Parc national marin avaient été entendues. En octobre, le conseil de gestion du Parc naturel marin avait rendu un avis "défavorable" sur le projet, poussant Engie à présenter en décembre un projet modifié pour réduire l'impact sur l'environnement. Engie avait notamment proposé de relever de 15 mètres les éoliennes afin de minimiser les risques de collision avec les oiseaux, mais aussi d'arrêter les travaux d'installation des pieux servant aux fondations des éoliennes pendant les 4 mois correspondant à la période de nidification des espèces marines. Le groupe s'est également engagé à utiliser une technique permettant de réduire de 50% le relargage de métaux lourds dans l'eau lié à la corrosion des pieux. Il doit enfin renforcer les moyens du groupe d'intérêt scientifique censé suivre la mise en place de ces mesures, dont le budget passera de 650.000 euros à 8 millions d'euros, avait indiqué en décembre Engie.
A.F.P. 20-02-2018
Commentant sur Cnews l'issue des négociations, la ministre du Travail Muriel Pénicaud a exprimé «un avis contrasté». Elle a salué d'un côté «un vrai progrès» pour les droits à la formation des salariés mais a regretté que l'accord ne touche pas à «la complexité du système». Sans plus de détail pour l'instant, elle promet «un big bang» du système de formation professionnelle qu'elle annoncera mardi prochain, estimant que les partenaires sociaux «n'ont pas traité» ce sujet dans leur accord finalisé dans la nuit. Le projet d'accord prévoit de muscler le conseil en évolution professionnelle (CEP), un dispositif d'accompagnement gratuit proposé à toute personne souhaitant faire le point sur sa situation professionnelle. Le CEP, qui sera financé à hauteur de 2,75 % des contributions pour la formation, devra fournir un accueil personnalisé poussé pour toute évolution, reconversion ou mobilité professionnelle. Les partenaires sociaux souhaitent que cet accompagnement bénéficie à 1 million de personnes par an. L'accord prévoit un abondement du compte personnel de formation (CPF) - compte mis à disposition des actifs pour se former tout au long du parcours professionnel - de 35 heures par année avec un plafond de 400 heures. Pour les salariés avec un diplôme de type CAP, BEP ou équivalent, le compte sera abondé de 55 heures par année, limité à 550 heures. L'accord se penche sur la mise en place de la réforme de l'alternance annoncée par le gouvernement , qui prévoit de confier le secteur aux branches professionnelles. Les centres de formation d'apprentis (CFA) seront désormais payés au contrat. Les montants de prise en charge pourront intégrer une modulation pour tenir compte des spécificités territoriales, si les régions le réclament. Un système de péréquation sera mis en place pour les secteurs d'activité qui pratiquent l'alternance en nombre mais ne disposent pas des ressources financières suffisantes. La cotisation unique - formation professionnelle et alternance - sera équivalente à ce que payent déjà les entreprises, soit une taxe de 1,23 % de la masse salariale pour les entreprises de 1 à 10 salariés et de 1,68 % pour celles de 11 salariés et plus. Le projet d'accord dédie 0,30 % de la masse salariale à la formation des demandeurs d'emploi, comme le réclamait le gouvernement. Cette contribution a vocation à se réduire en proportion de la diminution du nombre de chômeurs. Il accorde également au financement de l'alternance de 0,68 % à 0,95 % de la masse salariale en fonction de la taille des entreprises. Le reste sera dédié au CPF, au développement des dépenses des PME et au financement des formations initiales.
Reuters 22-02-2018
La Compagnie des Eaux de la Province de Sumatra du Nord (PDAM Tirtanadi) a attribué à Suez le contrat d’extension de l’usine de production d’eau potable de Medan, troisième plus grande ville d’Indonésie. L’extension du contrat BOT (Build-Operate-Transfer) pour une durée de 25 ans et d’un montant de 191 millions d’euros prévoit le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance de deux unités de production d’eau potable supplémentaires sur la station de Medan. Ce contrat s’inscrit dans la dynamique de croissance de Suez à l’international ; il renforce le positionnement du Groupe en Indonésie et marque une nouvelle étape dans l’approvisionnement en eau potable de la région. Destiné à améliorer l’accès à l’eau potable de la population en forte croissance de la ville de Medan , ce projet contribue à l’atteinte des objectifs des autorités locales d’alimenter en eau plus de 84% de la population d’ici 2020 , contre 73,2% aujourd’hui. En 2001 , Suez a finalisé la construction de la première phase de la station de production d’eau potable de Medan et l’exploite depuis sa mise en service. D’une production journalière de 43 200 m3 , cette usine alimente 150.000 habitants de la capitale de la Province de Sumatra du Nord en eau potable. Le projet d’extension de l’usine permettra de porter la production journalière de l’usine jusqu’à 77 760 m3 . Le contrat prévoit le financement et l’installation de deux unités compactes degremont ® (UCD ®) de production d’eau potable. Cette solution modulaire permet d’augmenter rapidement et simplement la production, en conformité avec la législation en vigueur. Chaque unité est composée de modules interchangeables pour un coût de génie civil réduit et une installation rapide, sans impact sur les ouvrages existants. L’ensemble propose un traitement complet , fiable et robuste avec une empreinte au sol réduite, et une grande facilité d’exploitation. La phase d’ingénierie et de construction de ces unités s’achèvera en 2020 et sera suivie d’une période d’exploitation de l’ensemble de l’usine pour les 25 prochaines années.
Laviedesreseaux.fr 19-02-2018
Paris-Nord Villepinte du 23 au 28/04/2018
Salon dédié au marché européen du béton, World of Concrete Europe revient à Paris en 2018 pour sa deuxième édition et se tiendra à nouveau concomitamment au salon Intermat. Producteurs de matériaux et fabricants de machines et d’équipements, de coffrages et d’échafaudage ou prestataires de services : plusieurs dizaines d’exposants y présenteront leur offre. Quelque 2 000 visiteurs et 500 congressistes sont attendus : entrepreneurs du BTP, distributeurs de produits en béton et d’outils, donneurs d’ordres ou maîtres d’œuvre. Des conférences et des tables rondes thématiques (cycle de vie, économie circulaire, maquette numérique…) seront organisées en parallèle de l’espace d’exposition.
En savoir plus : www.comexposium.com
INTERMAT AVRIL 2018 À VILLEPINTE POUR LES PROFESSIONNELS DE LA CONSTRUCTION
Du Lundi 23 Avril 2018 au Samedi 28 Avril 2018 de 09h00 à 18h00
INTERMAT - le salon international des professionnels de la construction
Le salon donne rendez-vous tous les 3 ans aux fabricants et fournisseurs de matériels, équipements, solutions et techniques pour la construction. Pendant près de 6 jours INTERMAT vous propose un programme de journées dédiées à des thématiques, des conférences, visites de délégation étrangères, démonstrations techniques, mises en relations B2B. Ce ne sont pas moins de 1 350 exposants avec plus de la moitié d’internationaux répartis sur 6 pavillons.
En savoir plus : www.comexposium.com