« Je me félicite de la montée en puissance du sujet de l’eau dans les instances européennes car l’Europe est un bon échelon pour la gestion de l’eau et l’urgence est là. Les nappes phréatiques n’ont pas de nationalité ! La France, qui a de nombreux besoins, en particulier sur ses réseaux, doit pouvoir s’appuyer sur l’Union Européenne et s’inspirer des bonnes pratiques d’autres pays en la matière. »
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