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Soixante-trois élus de tous bords politiques, directement concernés par le futur tunnel ferroviaire Lyon-Turin, ont écrit au président de la République pour lui demander d'accélérer le calendrier des voies d'accès à l'ouvrage, actuellement remis en cause en Italie. "La liaison Lyon-Turin a été conçue comme un tout cohérent, composé du tunnel transfrontalier et des voies d’accès à l’ouvrage", font valoir ces élus dans une lettre ouverte diffusée mercredi. Parmi les signataires, tous originaires de la région Auvergne-Rhône-Alpes, figurent 32 députés (sur 64), 13 sénateurs, 4 députés européens, 5 présidents de département et 9 présidents d'exécutif, dont le président de la région Laurent Wauquiez (LR), les maires de Bourg-en-Bresse Jean-François Debat (PS) et d'Annecy, Jean-Luc Rigaut (UDI), ainsi que le président de la métropole de Lyon, David Kimelfeld (LREM). "Les débats liés à la future Loi d’orientation des mobilités laissent craindre un report au-delà de 2038 de l’aménagement des voies d’accès depuis Lyon jusqu’au tunnel transfrontalier dont la mise en service est, elle, programmée en 2030". Un tel décalage engendrerait de "lourdes conséquences négatives", écrivent les signataires. "Sans voie d’accès française moderne et performante, il ne sera pas possible d’opérer un report modal massif du transport transalpin de marchandises de la route vers le rail", ajoutent-ils. Pour débloquer le dossier, les signataires estiment qu'il est possible de diviser par deux le coût des accès à l'ouvrage, en ne retenant "que les infrastructures essentielles à l’exploitation du tunnel transfrontalier lors de sa mise en service". Le Mouvement Cinq Etoiles (antisystème), qui s'apprête à former une coalition de gouvernement en Italie, a récemment estimé que cette ligne ferroviaire "ne ser(vait) à rien". "Dans le contexte d’incertitudes politiques en Italie, nous espérons vivement que vous saurez être le garant de la dynamique de ce grand chantier d’avenir", ont souligné les élus signataires à l'adresse de M. Macron.
A.F.P. 23.05.2018
Dans sa note d’analyse sur la mission « Écologie, développement et mobilité durables », réalisée dans le cadre de son audit de l’exécution budgétaire de l’État 2017 dévoilé le 23 mai, elle porte plusieurs critiques. Concernant l’Afitf, elle juge que le rapport Duron a bâti ses scénarios de hausse des dépenses sur une présentation « minorée » des comptes. Pour la Cour, les restes à payer de l’agence – c’est-à-dire les dépenses obligées – se chiffrent à 12 milliards d’euros plutôt qu’à 9,7. Elle note aussi que le volet mobilité des actuels contrats de plan État-régions a gonflé de 6,9 à 7,4 milliards d’euros. Les magistrats déplorent par ailleurs que le ministère de l’Écologie n’ait pas prévu de provisions pour indemniser Vinci après la rupture du contrat de Notre-Dame-des-Landes. D’autres notes portent sur les TET, le budget annexe contrôle et exploitation aériens, l’aide à l’acquisition de véhicules propres, la circulation et le stationnement routier, ou encore les investissements d’avenir.
Contexte 24.05.2018
Le Conseil d'Etat vient de rejeter le pourvoi formé par cinq associations militant pour la protection de l'environnement ou pour l'inscription des plages du Débarquement au patrimoine mondial de l'Unesco. Le pourvoi visait à faire annuler l'autorisation d'exploiter ce parc, délivrée par arrêté préfectoral le 8 juin 2016 et confirmée par la cour administrative d'appel de Nantes, qui avait rejeté un recours des opposants le 2 octobre 2017. L'avocat des associations requérantes, Francis Monamy, avait souligné lors de l'audience la spécificité du parc de Courseulles-sur-Mer, et notamment les risques liés à la présence dans les fonds marins de "très nombreuses mines et bombes" de la Seconde Guerre mondiale. Il avait également mis en avant l'incidence de la réalisation d'un tel parc de 50 km2, comprenant 75 éoliennes hautes de quelque 180 mètres, sur le projet de classement des plages du Débarquement au patrimoine mondial de l'Humanité. "C'est triste car notre demande n'a même pas été jugée recevable et cette décision ouvre la voie à l'autorisation d'autres parcs éoliens", a déclaré à l'AFP Hervé Texier, président de l'association requérante Belle Normandie Environnement. Un second pourvoi devant le Conseil d'Etat doit également être déposé, selon lui, après le rejet, début avril, par la cour administrative d'appel de Nantes d'un recours visant à faire annuler la convention de concession d'utilisation du domaine public maritime pendant 40 ans du parc offshore. Une quinzaine d'associations, dont des pêcheurs, ont par ailleurs déposé plainte auprès de la Commission européenne contre l'ensemble des projets éoliens normands. Le parc éolien en mer du Calvados, d'une puissance totale de 450 mégawatts, doit alimenter en électricité près de 630.000 personnes à horizon 2021. Les premiers parcs d'éoliennes en mer français devraient entrer en service au mieux en 2021 ou 2022, un net retard par rapport à l'Europe du nord.
A.F.P. 21.05.2018
La filiale du groupe Vinci souhaite peser dans le déploiement de la fibre optique. Dans le cadre du Plan France très haut débit, elle a remporté des contrats pour un montant total de travaux de 400 millions d’euros, afin de déployer la fibre dans 26 départements et de raccorder 600 000 foyers d’ici à 2022 en zones d’initiative publique. Avec les contrats remportés dans 9 départements* en 2017 dans les réseaux d’initiative publique, la filiale du groupe de BTP déploiera la fibre optique dans 26 départements au total. Dans le cadre du Plan France très haut débit, elle devra ainsi raccorder 600 000 foyers d’ici à 2022. Ces contrats représentent un montant global de travaux de 400 millions d’euros. Au sein de Vinci Energies, les projets seront menés par Axians, de la conception des réseaux jusqu’aux travaux de déploiement. Axians pourra s’appuyer sur les entreprises locales spécialisées de la filiale pour y parvenir. Les enjeux sont importants pour le groupe, car le défi est à la fois technique et humain. « Chaque nouveau réseau nécessite de traverser des zones souvent difficilement accessibles pour permettre l’accès à des habitations isolées », indique ainsi le groupe, qui compte sur « l’ancrage local de Vinci Energies » pour faciliter les chantiers. Pour les mener, Vinci Energies aura besoin de main d’œuvre. « L’ampleur et la durée des chantiers se traduiront par un renforcement des effectifs à travers la création de nouveaux emplois et le recrutement de personnes en insertion », confirme Vinci. En 2017, déjà près de 400 postes ont été créés au sein des entreprises de la branche Energies, pour intervenir dans le domaine des infrastructures de télécommunication. Et elles ont déjà confié « près de 100 000 heures de travail à des personnes éloignées de l’emploi », en contrat d’insertion.
Lemoniteur.fr 22.05.2018
A l’occasion du colloque « Smart City, Smart Territoires », organisé le mardi 22 mai à Paris, la FIRIP (Fédération des Industriels des Réseaux d’Initiative Publique) a dévoilé un guide méthodologique pour aider les collectivités à mettre en œuvre un projet de territoire intelligent. A l’aide d’exemples concrets, de conseils pratiques et d’infographies, cet ouvrage d’une cinquantaine de pages (« Construire son smart territoire »), réalisé en partenariat avec la Caisse des Dépôts, tente d’apporter des clés de compréhension aux décideurs publics, quels que soient la taille de leur territoire et le volume de leur budget. Les membres de la FIRIP entendent proposer aux élus et aux DGS (Direction Générale des Services) une méthode permettant de construire un projet de Smart territoire sur le plan technologique, relationnel et organisationnel.
Lemoniteur.fr 22.05.2018
Le ripage sous la plate-forme d’un couloir de correspondance entre les gares de la ligne 15 et du RER en gare des Ardoines s'est bien déroulé. L’ouvrage de 12 m de large préfabriqué a été poussé par trois vérins hydrauliques à la vitesse de 3 à 4 m par heure. Une opération réalisée par étapes. Cette manœuvre délicate et technique était prévue pour se dérouler sur 54 heures avec en préalable l’excavation de 6000 m3 de terre sous la plateforme SNCF. C’est d’abord sur une dalle de béton que le couloir a été glissé avant de poursuivre sur un sol brut qu’il a fallu préparer au fur et à mesure des opérations de pousse. Pas simple de mettre en place un ouvrage de béton de 3000 tonnes dans un sol situé au niveau de la nappe phréatique avec l’obligation de pomper en permanence pour éviter l’inondation. Dans le même temps le chantier de la boîte de la future gare de la ligne 15 se poursuit avec ses quais situés à 28 m de profondeur. A proximité, on creuse le puits Arighi d’où un nouveau tunnelier entrera en action fin 2018 ou début 2019. A côté même du bâtiment de la gare SNCF, un autre puits sera creusé pour permettre la descente d’un tunnelier établissant la liaison entre le futur centre de maintenance et la ligne 15. Le site des Ardoines est appelé à devenir un pôle multimodal majeur avec l’arrivée, à terme, en plus des lignes C et 15, d’un bus TZen après la construction d’une passerelle au-dessus des voies SNCF.
Ville, Rail & Transport 22.05.2018
Le cimentier Vicat a participé aux travaux de la dernière section du chantier de l’A89, un axe routier voué à relier Lyon à Bordeaux. Il y a livré des liants hydrauliques routiers. Entre les communes de Limonest et de La Tour de Salvagny (69), 4,5 km de 2x2 voies, dont 2,5 km de tracé neuf, ont été aménagés. Vicat a participé aux travaux sur cette dernière section, en livrant des liants hydrauliques routiers LV-TS 38 produits à l’usine de Montalieu (38). Financés par APRR pour un montant de 146 M€, les travaux ont nécessité la création de 2,5 km d’autoroute et le réaménagement de près de 2 km des routes nationales et N489. Le chantier comprenait notamment la construction du viaduc de Sémanet d’une longueur de 208 m. Appréciés pour valoriser les matériaux extraits du site, les liants hydrauliques routiers ont ici été utilisés pour des applications peu ordinaires, notamment le traitement en place de la culée perchée du viaduc sur une hauteur de 15 m.
Constructioncayola.com 22.05.2018
La colère commence à monter alors que la loi d'orientation des mobilités, qui prévoit la fin des autoroutes gratuites, doit bientôt être présentée par le gouvernement. La portion de l'A20 entre Vierzon (Cher) et Montauban (Tarn-et-Garonne) pourrait notamment devenir payante, ce que la CGT dénonce. Des péages pourraient être installés entre les deux villes et des vignettes payantes créées pour les poids lourds. La ministre des Transports, Elisabeth Borne, entend utiliser les recettes pour financer de nouveaux aménagements. Et cela pourrait passer soit par la mise en place de péages sur les portions gratuites des autoroutes soit par la création de vignette payantes pour les poids lourds. "Et demain pourquoi pas remettre la vignette sur les véhicules légers ? " s'interroge avec inquiétude Franck Robert, le délégué CGT à la Dirco. La gratuité ça participe à l'aménagement du territoire rappelle-t-il. "Il y a de nombreuses personnes qui se déplacent depuis l'Indre et la Creuse pour aller travailler à Limoges_, pour elles ce serait une charge supplémentaire", explique encore Franck Robert. Le syndicat craint aussi la perte du statut de la fonction publique pour les personnels d'exploitation des routes. On rappelle que l'A20 est gratuite de Vierzon dans le Cher... jusqu'à Brive et donc dans toute la traversée du Limousin.
Ouest-France 23.05.2018
Après la décision du Conseil d'Etat de confirmer, le 11 avril dernier, la déclaration d'utilité publique des lignes à grande vitesse Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax, les opposants dénoncent une décision politique et vide juridiquement et devraient saisir simultanément la Cour européenne des droits de l'Homme et la Cour de justice de l'Union européenne. Pour mémoire, les juges administratifs avaient soutenu un raisonnement exactement inverse à celui défendu dans leur précédente décision d'avril 2016 sur la liaison ferroviaire Poitiers-Limoges, en particulier sur la question du financement du projet. "Le Conseil d'Etat fait un grand pas en arrière par rapport à sa propre jurisprudence. D'une part, il survole les arguments des opposants et, d'autre part, il reconnaît que les arguments de SNCF Réseau sur le financement sont un copier-coller de la ligne Poitiers-Limoges et pourtant il décide l'exact inverse", insiste Pierre Recarte, le vice-président du Collectif d'associations de défense de l'environnement du Pays-basque et des Landes, rappelant que "60 des 65 collectivités appelées en 2011 à participer au financement du prolongement de la LGV y ont depuis renoncé". A défaut de juridiction nationale supérieure au Conseil d'Etat, la coordination d'opposants, qui représentent trois des sept requérants, devraient donc saisir les deux juridictions européennes dans les six mois qui viennent. "La CEDH est habituellement très rigoureuse dans l'examen du bilan coût/avantages et des solutions alternatives, deux éléments survolés par le Conseil d'Etat", considère l'avocat bordelais qui veut croire que "les juridictions européennes seront moins sensibles aux pressions des lobbys nationaux et des élus régionaux." Selon des élus locaux toulousains, à l'issue d'une réunion de travail avec la ministre des Transports, Elizabeth Borne, le 17 mai dernier, les arbitrages sur le calendrier de réalisation de des deux lignes devraient être rendus publics d'ici la fin du mois. Parallèlement, les recours qui seront engagés devant les instances européennes ne devraient pas aboutir avant trois ans. Mais un premier examen des recours devraient intervenir courant 2019.
Latribune.fr 21.05.2016
La ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a annoncé à l'Assemblée qu'une « mission » était en cours pour vérifier si le montant de la dotation aux régions prévue pour l'apprentissage était suffisant, lors d'une audition sur le projet de loi « avenir professionnel ». La ministre a été longuement questionnée par la commission des Affaires sociales sur la réforme de l'apprentissage incluse dans ce texte, qui réforme également l'assurance chômage et la formation professionnelle. « Je m'inscris en faux dans l'idée qu'on a transféré l'apprentissage aux branches », a-t-elle lancé alors que cette réforme a fait l'objet d'un bras de fer entre les régions et le Medef sur la question du pilotage des Centres de formations des apprentis (CFA). « Le but c'est la fin de l'orientation par défaut de l'apprentissage », a dit la ministre en préambule. « Il y a beaucoup d'entreprises qui se sont désengagées de l'apprentissage », a-t-elle ajouté afin de justifier que les régions soient dépossédées d'une partie de leurs compétences. « S'il y a une section où il n'y a pas de jeunes et pas d'entreprises qui viennent, honnêtement on ne va pas mettre de l'argent public ou mutualiser pour financer des formations qui n'ont pas de débouchés et emmener les jeunes dans le mur ! », a-t-elle aussi souligné. Mme Pénicaud a par ailleurs expliqué qu'une « mission flash de la DGEFP (délégation générale à l'emploi et à la formation) » était en cours « dans quatre régions tests », « avec les services des conseils régionaux (...) et on estime si les 250 millions sont trop ou pas assez », a-t-elle dit aux députés. « On va vérifier que le montant de la dotation correspond bien aux 20% en plus », a-t-elle dit. L'examen du texte et des amendements est programmé à partir du 29 mai en commission des Affaires sociales.
A.F.P. 23.05.2018
Des millions d'emplois pourraient être créés dans le monde d'ici 2030 dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, mais potentiellement aux dépens des femmes et des pays les plus pauvres, souligne un rapport de l'OIT cette semaine. Les actions pour limiter le réchauffement climatique en-dessous de 2°C pourraient aboutir à la création de 24 millions d'emplois, compensant une perte parallèle de 6 millions, calcule l'Organisation internationale du travail. Mais elles feraient aussi "légèrement baisser la part des femmes dans l'emploi total", souligne ce rapport intitulé "Emploi et questions sociales dans le monde 2018: une économie verte et créatrice d'emplois". "Ce résultat n'est pas surprenant. Quand on parle de transition énergétique, ça veut dire plus d'éoliennes, plus de géothermie, plus de voitures électriques, et on sait que les énergies renouvelables, la manufacture et la construction sont des secteurs masculins", explique Catherine Saget, auteure principale du rapport. Les femmes sont "sous-représentées" dans le secteur des énergies renouvelables des économies les plus avancées (20 à 25%), selon l'OIT, même si leur proportion augmente. En France, la part de femmes travaillant dans la production et la distribution d'énergie et d'eau est ainsi passée de 15% en 2008 à 21% en 2012.
A.F.P. 23.05.2018
Dhaka Water Supply and Sewerage Authority (WASA), autorité en charge de la gestion de l'eau potable et usée dans la capitale du Bangladesh, Dhaka, a choisi d'attribuer à Veolia, associée à Suez, le contrat de conception, construction et exploitation de l'usine de production d'eau potable de Gandharbpur . Ce contrat, remporté à l'issue d'un appel d'offres international, représente un montant total cumulé d'environ 275 millions d'euros, a révélé hier soir Veolia. Cette opération sera réalisée à travers une joint-venture détenue à parts égales entre Veolia, à travers une filiale de Veolia Water Technologies, et Suez, mandataire du groupement.
Laviedesreseaux.fr 18.05.2018
Une infrastructure exceptionnelle, qui devait être l'orgueil de la Colombie, prend l'eau : avant même d'être terminée, Hidroituango, la plus grande centrale hydroélectrique du pays, semble fragilisée par une faille géologique et menace plus de 130.000 habitants de la région. Des experts n'écartent pas que des erreurs d'ingénierie et de planification, ainsi qu'une politique de moindre coût dans la conception, aient mis en péril ce projet. Mais il est encore tôt pour tirer des conclusions définitives. La construction de cette centrale, visant à couvrir un cinquième des besoins énergétiques de la Colombie, a débuté en 2010, pour un coût dépassant les trois milliards de dollars. Le lac artificiel devait à l'origine être rempli au 1er juillet. Mais il y a une quinzaine de jours, un glissement de terrain a bloqué un tunnel de déviation du Cauca, deuxième fleuve du pays qui alimente la centrale. Le lac a alors commencé à se remplir alors que la digue n'était pas achevée. Le principal actionnaire du projet, Entreprises publiques de Medellin (EPM), a accéléré les travaux, tout en habilitant la salle des machines du barrage comme conduit d'écoulement. Samedi dernier, sous la puissance de l'eau, le tunnel de déviation s'est débouché, provoquant une crue brutale.
A.F.P. 18.05.2018
mardi 5 juin 2018, de 14h00 à 17h00,
à la Maison des Travaux Publics au 3 rue de Berri, 75008 Paris
Au programme de cette rencontre :
14h15 – 15h30
La force de l’exemple, moteur du changement
Sélection de retours d’expérience de mesures d’évitement et de réduction d’atteinte à la biodiversité, présentés par les maîtres d’ouvrage, les entrepreneurs de Travaux Publics et les bureaux d’étude.
15h30-17h00
Table ronde « Mieux connaître pour mieux protéger : une évolution nécessaire pour améliorer la mise en œuvre des mesures d’évitement et de réduction »
Entre évitement et réduction, il n’y a qu’un pas : éclairages sur le guide d’aide à la définition des mesures ERC
De l’importance du suivi dans le temps : comment évaluer l’efficacité des mesures ?
Tirer les leçons et en partager le fruit : quel rôle pour le Centre de ressources génie écologique ?