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Après le lancement en octobre dernier de sa campagne d’attractivité des métiers #FranchementRespect, la FNTP (fédération nationale des travaux publics) revient avec le rappeur Lefa et un concours de punchlines à destination des jeunes. Toujours sur fond de rap, le second volet de la campagne #FranchementRespect est cette fois porté par la voix du rappeur Lefa (ex-membre de Sexion d’Assaut) qui lance un appel à la créativité auprès des jeunes, cible prioritaire de la Fédération Nationale des Travaux Publics qui veut recruter 200.000 personnes dans les cinq prochaines années. Un spot audio enregistré par Lefa ainsi que des bannières détournant le sens de plusieurs de ses punchlines seront diffusées sur Spotify pour inciter ces jeunes à écrire leurs propres punchlines sur les métiers des TP. Sur Skyrock, c’est un spot radio réalisé avec DEF, le rappeur qui a donné sa voix au film publicitaire lancé l’année dernière qui invitera la jeunesse à contribuer au concours de punchlines. Le concours, hébergé sur la page Facebook de la FNTP, a pour but d'attirer les jeunes vers les métiers des Travaux Publics et les formations qui permettent d'y faire carrière. Constructeur en ouvrage d’art, Chef de chantier, Conducteur d’engins ou encore Constructeur de route… Chaque semaine, un métier des Travaux Publics sera l'objet du concours et les participants devront rivaliser de créativité pour se démarquer et gagner le concours. À la clé pour 6 grands gagnants : un shooting photo pour devenir les nouveaux visages de la prochaine campagne de la FNTP qui sera déployée dès mars 2019. Des casques audio Beats by Dre seront également offerts aux rappeurs en herbe. Le concours a été lancé sur Facebook et Spotify le 21 janvier 2019 pour une durée de 7 semaines.
Lareclame.fr 22-01-2019
L’ancien directeur général de l’aéroport d’Amman, capitale de la Jordanie, pour ADP (ex-Aéroport de Paris), le sous-préfet Xavier Idier, a rejoint le groupe de construction et de concessions français Eiffage. Le 1er avril prochain, il prendra le poste de directeur général de Senac S.A., filiale d’Eiffage Concessions au Sénégal, et d’Eiffage Opérations services, chargé notamment de la maintenance des concessions autoroutières gérées par le groupe dans le pays. En attendant sa prise de fonction, il est directeur de projet au sein d’Eiffage constructions, en “formation” sur le périmètre “concessions autoroutières”.
Acteurs Publics 18-01-2019
Conséquence du ralentissement de l'économie, les défaillances d'entreprises sont reparties à la hausse dans l'Hexagone dès le mois de mai 2018, selon le bilan annuel de l'assureur-crédit Coface. Une orientation qui s'applique à tous les secteurs d'activité, et plus particulièrement à la construction, qui a subi de plein fouet la baisse de 5,3 % des permis de construire. Par ailleurs, la moindre progression de la consommation des ménages (seulement 0,8 % en 2018, selon l'estimation de Coface, après + 1,1 % en 2017) a surtout affecté les services aux particuliers, la distribution et le secteur automobile. Malgré cette inversion de tendance intervenue au printemps, 2018 reste une bonne année, avec 52.665 défaillances seulement. C'est 2,9 % de moins qu'en 2017, soit le plus bas niveau atteint depuis 2008. Paradoxalement, les deux derniers mois de 2018 ont été corrects. L'impact du mouvement des «gilets jaunes» est peu perceptible, puisque les défaillances enregistrées en décembre sont inférieures de 3,6 % à celles de décembre 2017. Quelques exceptions toutefois, notamment dans le commerce de détail, l'habillement et la restauration (+ 6 %). Les effets du mouvement devraient être plus marquants dans les prochains mois. Fragilisées, les entreprises devraient sentir des tensions de trésorerie avec quelques semaines de décalage, à partir de février. Selon le modèle de prévision de Coface, 53 192 défaillances d'entreprises sont à prévoir en 2019, soit une hausse de 1 % par rapport à 2018.
Le Figaro 23-01-2019
Le groupe Vicat a annoncé la conclusion du rachat de la société Ciplan, un cimentier brésilien, avec une participation majoritaire de 64,74% au capital de la société. L’opération, dans les tuyaux depuis octobre 2018, s’est réalisée sous la forme d’une augmentation de capital réservée de 295 M€ qui permettra de rembourser l’essentiel de la dette actuelle de Ciplan. Ce dernier est l'un des 6 grands cimentiers du Brésil. L’entreprise exploite une cimenterie, à proximité de Brasilia. A lui seul, ce site peut produire 3,2 millions de tonnes de ciment par an. La société dispose par ailleurs d’un réseau de 9 centrales de béton prêt à l’emploi et de 5 carrières dont 2 de granulats. Le groupe Vicat, spécialisé notamment dans la production de béton, de ciment, et de granulats est déjà présent dans 12 pays et réalise plus de 68% de son chiffre d'affaires à l'international. Cette acquisition permet à Vicat de poser un pied au Brésil, sur un marché au fort potentiel de croissance. Vicat communiquera plus d'informations sur la société et les modalités de l'opération à l'occasion de la publication des résultats 2018, prévue le 19 février.
Lemoniteur.fr 23-01-2019
Le Sénat accélère sur le sujet de la sécurité des ponts en France et se prépare à consulter les élus locaux sur le sujet. À la suite de l’effondrement du pont Morandi à Gênes l’été dernier, la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable de la Chambre haute avait créé une mission d’information sur la sécurité des ponts, le 3 octobre 2018, présidée par le centriste Hervé Maurey (UC – Eure). Cette mission, qui a pour but d’évaluer les modalités de surveillance et d’entretien des ponts gérés par l’État et par les collectivités territoriales, cherche en particulier à savoir si « les collectivités territoriales disposent des capacités techniques et budgétaires suffisantes pour assurer l’entretien de leurs ouvrages d’art ». Afin de recueillir le témoignage des élus concernés, la mission d’information « lance une consultation sur la nouvelle plateforme interactive de consultation des élus locaux mise en place, à l’initiative du Président du Sénat, Gérard Larcher », annonce-t-elle ce lundi 21 janvier 2019. Le questionnaire mis en ligne vise à obtenir des informations sur les difficultés auxquelles les élus peuvent faire face dans la mise en œuvre de leurs politiques de gestion des ponts, et viendra nourrir les travaux de la mission ainsi que ses recommandations. La date limite de réponse au questionnaire est fixée au 28 février 2019.
Lemoniteur.fr 21-01-2019
Où réduire le poids de la dépense publique ? C’est la question sur laquelle s'est penchée France Stratégie dans une note publiée jeudi 17 janvier à l’heure où le "Grand débat national" interroge les Français sur les économies qui leur semblent prioritaires de faire. Avec un niveau de dépense publique équivalent à 56,5% du produit intérieur brut, la France fait figure de championne d’Europe. Une proportion que le gouvernement s’est engagé à baisser de trois points d’ici 2022, ce qui représenterait de 65 à 70 milliards d’euros. C’est "un objectif atteignable, puisque 21 pays européennes sur 27 y sont parvenus au moins une fois au cours des vingt dernières années […] Mais il est ambitieux", estime dans sa note l’organisme de réflexion placé auprès du Premier ministre. Pour autant, y parvenir "sans toucher ni au social ni au régalien supposerait de ramener toutes les autres dépenses à un niveau inférieur à celui observé dans les pays d’Europe occidentale". Un objectif "peu réaliste" selon France Stratégie. L’occasion pour le think-tank d’avancer un "scénario plus équilibré" qui prévoirait une "légère augmentation" du poids des dépenses d’éducation et de défense et un "maintien" de celui de l’investissement public réorienté vers la transition écologique et énergétique. En contrepartie, ce scénario "suppose de gros efforts hors sphère sociale" (dépenses de fonctionnement des administrations centrales et locales, subventions et aide à l’économie) mais aussi des efforts "plus mesurés" dans la sphère sociale. Concernant ce dernier point, sont notamment visées les prestations sociales "en espèces, y compris retraites" mais aussi l’accueil ou l’aide aux personnes.
Acteurs Publics 21-01-2019
En réponse à la demande d’Elisabeth Borne, ministre chargée des Transports, qui plaidait pour une préservation du pouvoir d’achat des usagers quotidiens du réseau autoroutier sous concessions, les concessionnaires autoroutiers ont proposé un tarif préférentiel pour les usagers réguliers. Elles mettront en place à compter du 1er février, sur l’ensemble de leurs réseaux, un tarif préférentiel pour les usagers réguliers grâce à de nouveaux abonnements : tout conducteur effectuant au moins 10 allers/retours dans le mois sur un même itinéraire pourra bénéficier d’une réduction de 30% des tarifs des péages sur l’ensemble des trajets. L’offre concerne les automobilistes empruntant le réseau autoroutier pour leurs trajets domicile-travail, ainsi que les personnes travaillant à mi-temps. Les nouveaux abonnements seront accessibles dès le 1er février et sans limite de durée et de distance. Ils seront réservés aux conducteurs de voitures particulières et de deux roues. Ces abonnements interviendront en complément des formules d’abonnements locaux déjà existantes pour les trajets domicile-travail périurbains. Les automobilistes bénéficiant déjà des abonnements locaux à tarifs préférentiels seront libres de les conserver ou de souscrire aux nouvelles offres. Le prix de l’abonnement ne pourra pas dépasser 2,50€/mois.
Constructioncayola.com 18-01-2019
C’est la nouvelle du début 2019 : la ministre des Transports n’a pas renoncé à l’objectif d’une fiscalité supplémentaire pour les poids lourds, a-t-elle expliqué lors de ses vœux à la presse le 17 janvier. La conjoncture n’est pas propice à une vignette sur les poids lourds, initialement envisagée pour 2020. « Quand certaines entreprises du transport routier ont été affaiblies par la crise de décembre et que certaines ont perdu jusqu’à 70% de leur chiffre d’affaires, ce n’est pas le moment », admet Élisabeth Borne. Elle faisait ici allusion à la facture du mouvement des Gilets jaunes sur le transport routier de marchandise, que lui ont présentée, début janvier, les organisations professionnelles. Mais il en faudrait plus pour faire varier la ministre du cap qui est le sien depuis son arrivée il y a presque deux ans. « Il faudra trouver un moyen de faire participer les poids lourds à l’entretien des infrastructures routières qu’ils empruntent largement », répète la ministre. Les transporteurs sont donc prévenus. Mais à quelle mesure doivent-ils s’attendre ? Vignette, hausse de la TICPE, rabotage des ristournes sur la TVA, etc. ? Elisabeth Borne n'a pas donné de réponse.
Transportinfo.fr 23-01-2019
L'Observatoire des finances et de la gestion publique locales (OFGPL) vient de publier une étude chiffrant à 40 milliards d'euros en moyenne annuelle l'investissement des communes et de leurs communautés depuis le début de mandat (2014-2018). Soit un écart de -15 % par rapport à la période équivalente du précédent cycle électoral 2008-2012, à population et prix comparable. Cette institution créée par la loi NOTRe de 2015 et présidée par André Laignel évalue à 7 % la progression de l'investissement en 2018. Un chiffre similaire à la projection faite en septembre par La Banque Postale pour l'ensemble des collectivités locales mais inférieur de 1 point au rebond enregistré en 2017 après deux années de baisse en début de mandat. André Laignel assure qu'une nouvelle hausse probable des dépenses cette année ne suffira pas à redresser la barre. Le mandat devrait se solder par une baisse de 10 à 12 %. On resterait cependant loin des craintes d'une chute de 25 % sur l'ensemble du cycle, brandies par les élus précédemment. Par ailleurs, les investissements du cycle précédent étaient assez élevés. Le secrétaire général de l'OFGPL, Thomas Rougier, relativise néanmoins la hausse de l'an dernier, qui s'explique en partie par le renchérissement des prix du BTP. « Un tiers des 7 % proviendrait de ce phénomène qui est déjà arrivé dans le passé dans les années 2000 par exemple » précise-t-il. Autre confirmation de l'étude, la montée en puissance de l'intercommunalité qui désormais pèse un tiers des investissements du bloc local. « Une proportion qui a triplé en un quart de siècle », souligne André Laignel.
Les Echos 22-01-2019
Le producteur canadien d'énergies renouvelables Boralex a dévoilé le nom des trois partenaires pour l'accompagner dans le cadre de l'appel d'offres du futur parc éolien en mer au large de Dunkerque. Le groupe, qui fait partie des pré-sélectionnés par l'Etat français, s'est associé aux néerlandais Eneco et Van Oord et à la société DGE, filiale du japonais Mitsubishi Corporation. Eneco est déjà actif dans l'éolien en mer en Europe, tandis que Van Oord est un spécialiste de la sous-traitance maritime (dragage, projets offshore pétrolier, gazier et éolien). DGE développe lui des capacités de production de gaz et d'électricité, notamment dans l'éolien en mer, en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. Boralex met pour sa part en avant sa présence en France depuis 20 ans, avec plus de 900 mégawatts en opération dans le pays. L'association de ces quatre acteurs répond à une "logique qui permet à la fois au consortium de gérer ses risques et qui permet aussi à l'adjudicateur, c'est-à-dire à l'Etat français, de s'assurer que les choses vont aller au bout", a défendu M. Decostre. Les candidats pour cet appel d'offres de Dunkerque ont jusqu'au 15 mars pour déposer leur offre définitive. Dix avaient été présélectionnés en 2017. Parmi eux, figurent notamment les consortiums Shell-Quadran Energies marines-Deme, Vattenfall-WPD Offshore-Caisse des Dépôts, Engie-EDPR ou EDF-Innogy-Enbridge. L'appel d'offres de Dunkerque est le troisième lancé par l'Etat français pour développer les éoliennes marines "posées" (par opposition aux turbines flottantes) en France. Le lauréat doit être désigné courant 2019, pour une mise en service à horizon 2022. Les acteurs de l'éolien en mer espèrent que le prix de production de l'électricité qui ressortira de l'appel d'offres incitera le gouvernement a revoir à la hausse ses ambitions dans cette énergie. La feuille de route énergétique de la France, bientôt en consultation avant une adoption définitive courant 2019, prévoit de déployer 5.000 mégawatts de capacités d'ici à 2028.
A.F.P. 23-01-2019
Ellen, Virginie, Steffie ou Malala : ce sont les noms des futurs tunneliers qui creuseront les galeries du Grand Paris Express. Par tradition, ces énormes engins excavateurs portent toujours un prénom féminin. D'ici 2030 (si les délais sont respectés), ce chantier monumental à 35 milliards d'euros devrait ajouter 200 kilomètres de nouvelles lignes automatiques, soit autant que le métro actuel, et 68 gares supplémentaires en Île-de-France pour relier les différents pôles d'activité de la région. Actuellement, deux tunneliers s'activent déjà pour creuser la ligne 15 sud à Champigny-sur-Marne, et entre Noisy-le-Grand et Bry-sur-Marne. À Bagneux, un troisième est en train d'être assemblé dans son puits de départ. Mais d'ici 2020, ils seront 21 à tourner simultanément. Au total, une trentaine de tunneliers se relayeront pour réaliser le plus grand chantier souterrain d'Europe. Un record : il en avait fallu 21 pour réaliser les 111 kilomètres du métro de Doha, au Qatar. Ces tunneliers progresseront aussi à une profondeur jamais atteinte jusqu'ici pour des machines de cette taille : jusqu'à 55 mètres de profondeur. Ensemble, ils recracheront 43 millions de tonnes de déblais, soit le poids de huit pyramides de Gizeh ! Ces gigantesques perceuses ont toutes été conçues par Herrenknecht. L'entreprise allemande est aujourd'hui le leader mondial de ce marché de niche. Elle a déjà conçu plus d'un millier de ces engins et exporte dans plus de 85 pays. Car un tunnelier, ce n'est pas comme une grue ou un engin de chantier : chacun est conçu sur mesure en fonction des spécificités géologiques du terrain et du diamètre de la galerie ; il ne peut donc pas être réutilisé. La tête foreuse est construite en métaux lourds ultrarésistants et bardée de capteurs qui mesurent en permanence la pression, la dureté de la roche ou des irrégularités du sol. Chaque engin, qui coûte au bas mot 20 millions d'euros pièce, mesure 10 mètres de diamètre, soit la hauteur d'un immeuble de trois étages. Il progresse au rythme de 10 à 20 mètres par jour en disposant des voussoirs (les éléments en béton qui constituent la galerie) et en évacuant les débris dans le train suiveur, qui mesure 100 mètres de long. Le record du plus gros tunnelier reste cependant détenu par une machine de 17,6 mètres de diamètre qui a servi à construire un tunnel sous-marin de 50 mètres reliant l'aéroport international à l'île de Lantau à Hong Kong.
Futura-sciences.com 22-01-2019
Réunis pour une huitième séance consacrée aux contrats courts, les partenaires sociaux ont convenu de continuer, malgré leurs désaccords sur le sujet . Prochain rendez-vous le 31 janvier avec un texte - le premier - sur la table dans lequel le trio Medef-CPME-U2P promet de détailler un peu plus ses pistes « anti précarité », même si elles n'ont pas convaincu - en tout cas pas à ce stade - les syndicats de renoncer à l'instauration d'un mécanisme de type bonus-malus. Concrètement, le patronat a listé douze propositions, dont certaines reflètent en partie des points de récents accords de branche . Il s'agit notamment de donner la priorité de réembauche en contrat long - pour l'instant CDD de plus d'un mois même si le CDI est visé - aux personnes qui enchaînent les contrats courts. D'informer ces dernières des possibilités de contrats longs. mais aussi de figer une liste de secteurs habilités à user d'un nouveau CDD multi-remplacement prévu par la loi « Avenir professionnel » . De revoir les règles du temps partiel (ce qui inquiète beaucoup FO), d'améliorer le fonctionnement des groupements d'employeurs, en s'inspirant des préconisations d'un rapport du Cese. Egalement proposé : restreindre (en fait appliquer la loi) le recours des CDD d'usage ; réduire les délais de carence (ce que refuse catégoriquement la CFDT) ou encore de revoir les règles de renouvellement des CDD. Le patronat suggère également de prendre en compte les durées cumulées en contrats courts pour accéder à certains droits ou encore de bénéficier d'un coup de pouce en matière de formation ou d'aides au logement ou à la mobilité. Loin des prises de positions critiques des syndicats, Hubert Mongon, chef de file pour le Medef a estimé que la séance marquait l'entrée « dans la phase finale de la négociation ». A telle enseigne que les partenaires sociaux ont convenu de deux dates supplémentaires (14 et 20 février), sous réserve que Matignon les leur accorde puisque la date butoir de la négociation était fixée à fin janvier. Ce qui est très probable. Tout cela peut-il mener à un accord, sachant qu'il y a aussi dans la balance les pistes d'économies - le gouvernement veut réduire de 1 à 1,3 milliard par an les dépenses d'allocation ? Il faudra pour cela que les syndicats soient convaincus que les effets des propositions alternatives du patronat puissent les amener à lâcher le bonus-malus. En tout cas trois syndicats sur les cinq, puisque FO et la CGT ne voudront certainement pas manger leur chapeau. Il faudra aussi que le patronat accepte de proroger les deux sur-cotisations issues de la convention de 2017.
Les Echos 23-01-2019
Israël inaugure un nouvel aéroport international dans le sud désertique pour stimuler le tourisme à destination de la mer Rouge et servir d'alternative à Tel-Aviv, sa principale plateforme aéroportuaire, en cas de conflit. Dans un premier temps, l'aéroport Ramon, du nom d'Ilan Ramon, le premier astronaute israélien, mort en 2003 dans l'explosion de la navette spatiale américaine Columbia, servira uniquement pour les vols intérieurs des compagnies israéliennes Arkia et Israir. La date à laquelle l’aéroport accueillera aussi des vols internationaux n'est pas encore fixée. Il pourra accueillir à terme des gros porteurs du monde entier. Son site internet précise que sa capacité initiale sera de deux millions de passagers par an mais qu'elle sera ensuite portée à 4,2 millions d'ici 2030. Il dispose d'une piste de 3.600 mètres ainsi que d'une capacité de parking pour neuf "gros porteurs", et des installations pour traiter le fret. L’aéroport se trouve à environ 18 km de la station balnéaire israélienne d'Eilat et du port jordanien adjacent d'Aqaba. Des compagnies aériennes à bas coût et des charters qui utilisent actuellement l'aéroport d'Ovda, situé à 60 km d'Eilat vont opérer à parti de Ramon, ajoute le site. Parmi les compagnies qui doivent déménager figurent Ryanair, Wizz Air, EasyJet, SAS, Finnair et Ural Airlines. Ramon va également se substituer au petit aéroport municipal d'Eilat, où la piste utilisé par les avions était proche des constructions urbaines. Le coût de la construction a atteint 455 millions de dollars (395 millions d'euros). Les travaux ont été lancés en 2013. Le projet a été modifié à plusieurs reprises au fur et à mesure que les ambitions étaient revues à la hausse.
A.F.P. 21-01-2019
La FRTP Hauts-de-France organise le 8 février 2019 une journée Prévention - Santé à destination des équipes de terrain : ouvriers, conducteur d’engins…
Elle se déroulera au Lycée Professionnel des Travaux Publics de Bruay La Buissière (62).
4 ateliers ponctueront la journée :
Travail en présence de réseaux gaz - électricité
Chutes de plain-pied
Sécurité routière
Gestes et postures
Pour vous inscrire, contactez la FRTP Hauts-de-France.