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Dans un communiqué commun, la fédération DLR (matériels de construction et de manutention), la Fédération française du bâtiment (FFB) et la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) annoncent avoir signé ce jour, mercredi 5 septembre 2018, de nouvelles conditions générales de location de grues. Des dispositions qui concernent les segments de matériels suivants : grues à tour, à montage par élément, à montage rapide et à montage automatisé. D'après les trois organisations professionnelles, cette nouvelle version des conditions générales est également l'occasion de mettre en avant un cadre de référence pour "des relations contractuelles équilibrées entre entreprises de travaux et professionnels des matériels de construction et de manutention". De plus, les dispositions modifiées prennent en considération l'évolution de la réglementation, notamment en matière de sécurité. Est aussi prise en compte l'obligation d'équiper certaines grues d'un ascenseur. Les précisions apportées par la fédération DLR, la FFB et la FNTP portent particulièrement sur deux points : d'une part, "les notions-clés de transfert de la garde de la grue, réception, prise de possession et restitution", ainsi que les responsabilités y afférant ; d'autre part, "les clauses relatives aux assurances pour tenir compte des pratiques du marché". Les trois organisations invitent leurs adhérents à prendre connaissance et à intégrer ces nouvelles conditions dès maintenant dans leurs contrats. En effet, à compter d'aujourd'hui, les dispositions modifiées remplacent le précédent document daté de 1999.
Batiactu.com 05-09-2018
Jean-Louis Servranckx (57 ans) quitte Eiffage, entreprise qu’il avait intégrée en juillet 2011, et dont il dirigeait la branche Infrastructures, pour prendre la présidence d’Aecon, l’un des leaders canadien du BTP, avec un chiffre d’affaires de près de 1,84 Mds € (2,805 Mds de dollars canadiens) et 12 000 collaborateurs. Il a pris ses nouvelles fonctions chez Aecon mardi 4 septembre, succédant à John Beck, désormais président du conseil d’administration.
Lemoniteur.fr 04-09-2018
Bouygues et Eiffage ont signé deux des plus fortes hausses boursières du SBF 120 après avoir dévoilé leurs résultats semestriels. Certes, Bouygues est porté par les résultats de sa branche télécoms. Mais après un premier trimestre difficile, où le BTP a pâti de la météo, les grands du secteur ont remonté la pente et cela va continuer car, à fin juin, Bouygues affiche un carnet de commandes record de près de 34 milliards d'euros (+9 %) et celui d'Eiffage s'est envolé de 22 %, pour franchir la barre des 14 milliards. La dynamique de croissance d'Eiffage s'accélère, comme en témoigne son résultat net semestriel. Il a bondi de 25 %, grâce à la manne de ses concessions autoroutières (APRR et Area) mais aussi grâce à son internationalisation. Après avoir racheté en 2017 la filiale de travaux maritimes du pétrolier Saipem, qui réalise 95 % de son activité hors de France, sur le premier semestre le groupe a mis sur la table 160 millions d'euros pour acquérir trois sociétés étrangères et l'international a représenté plus d'un quart de ses 7,6 milliards de chiffre d'affaires semestriel. Chez Bouygues, c'est 57%. Car c'est à l'international qu'est la croissance, plus qu'en France où « le marché des infrastructures est dynamique en Ile-de-France, mais pas vraiment en province », résume Philippe Bonnave, le PDG de Bouygues Construction. Devenu plus solide financièrement, Eiffage prend un virage stratégique. Il veut se lancer dans les concessions aéroportuaires. « Pour participer à la privatisation des aéroports de Nice, Lyon et Toulouse, il fallait des moyens financiers qu'à l'époque nous n'avions pas, explique le PDG d'Eiffage, Benoît de Ruffray. Aujourd'hui, je n'exclus aucun des prochains aéroports régionaux français à privatiser », à commencer par Lille, où les candidatures pourraient être pour le second semestre. Aéroport de Paris est trop gros mais, « pour des opérations conséquentes, à l'étranger, une association est possible, poursuit-il. Nous nous étions récemment alliés à l'aéroport de Zurich pour candidater à la concession de l'aéroport de Belgrade », finalement remportée par Vinci. En France, Eiffage et Bouygues font partie des cinq groupements en lice pour ce qui est, hors Grand Paris, le contrat phare de cet automne : un appel d'offres de l'ordre de 600 millions d'euros, pour un lot de travaux sur 90 kilomètres de la route Centre-Europe-Atlantique (RCEA) assorti d'une concession sur quarante ans. Le gagnant devrait être connu en novembre...
Les Echos 30-08-2018
Après l'avoir expérimenté le week-end et les jours fériés, la communauté urbaine de Dunkerque fait un pas de plus en passant depuis le 3 septembre à la gratuité sept jours sur sept de son réseau de bus. Ce qui fait d'elle la plus grande agglomération à rendre gratuits ses transports en commun. Les villes qui l'ont devancée, Aubagne, Castres, Châteauroux, Gap ou récemment Niort, sont de taille plus modeste. Cette mesure choc et très politique est loin de faire l'unanimité dans le secteur. Mais elle refait surface et d'autres grandes agglomérations comme Amiens et Grenoble y réfléchissent. Serait-ce un enjeu fort des prochaines municipales du printemps 2020 ?
Caissedesdepotsdesterritoires.fr 05-09-2018
Plusieurs entreprises et start-up s’intéressent à la piste de l’éolienne urbaine pour déployer plus d’énergie verte dans les zones urbaines. Pour l’instant, ces installations demeurent anecdotiques. Pourtant un marché pourrait effectivement émerger avec l’arrivée de nouvelles normes énergétiques en matière de constructions immobilières et la mise au point d’éoliennes urbaines plus performantes. Difficile d’installer des éoliennes en zone urbaine, et pour cause : les contraintes techniques sont nombreuses, à commencer par la densité de construction dans les villes et les grandes agglomérations laissant peu de place pour installer des éoliennes traditionnelles. Les bâtiments constituent un obstacle qui limite l’accès à des vents forts. Et sans une force suffisante du vent, le rendement est trop faible pour être financièrement intéressant. La forte densité de construction peut également entraîner des turbulences car le vent se transforme en rafales dans les couloirs urbains, ce qui rend l’exploitation d’une éolienne urbaine encore plus difficile. De même, les bâtiments ne peuvent pas toujours être équipés à cause des vibrations produites par l’éolienne quand elle est active ; ces vibrations peuvent entraîner des dommages au niveau de la structure qui la supporte. Malgré ces nombreux obstacles, l’éolienne urbaine est une source potentielle d’énergie qui intéresse de plus en plus les entreprises ainsi que les architectes. Car avec l’arrivée prochaine de nouvelles normes de construction, il va falloir trouver des solutions pour permettre aux bâtiments d’intégrer plus de sources d’approvisionnement énergétique. Au sein de l’Union Européenne, la Directive sur l’Efficacité Energétique des Bâtiments doit entrer en vigueur dès le 1e janvier 2021 pour les bâtiments neufs. Cette disposition exige notamment que ces nouvelles constructions soient à énergie « quasi-nulle » : ils doivent réduire leur consommation d’énergie, mais aussi être capables de produire de l’énergie. A terme, le développement de l’éolienne urbaine ne concernera pas seulement les nouvelles installations. Il pourrait également s’inscrire dans le cadre de la rénovation énergétique.
Lenergeek.com 21-08-2018
Un an après l'attribution au groupe Vinci Construction du marché des tranchées couvertes* du boulevard urbain sud (BUS), le groupement piloté par Bouygues Travaux Publics (Aix-en-Provence) et Rudy Ricciotti (Bandol) vient de se voir confier la réalisation des deux ponts sur l'Huveaune de cet axe appelé à désenclaver les quartiers sud de Marseille. En partenariat avec l'agence d'architecture et de paysagiste STOA (Marseille) et les sociétés d'ingénierie Setec TPI (Paris) et Lamoureux & Ricciotti (Bandol), le groupe de construction et le starchitecte sont les lauréats du marché de conception-réalisation lancé par la Métropole Aix-Marseille-Provence (AMP) pour la construction de deux ouvrages d'art destinés au franchissement du cours d'eau sur le tronçon le plus septentrional du BUS, dans le quartier de Saint-Loup, entre la rue Verdillon (10e) et l'échangeur Florian (10e), noeud qui relie la rocade L2 et l'autoroute A 50 et, demain, le BUS. Dénués de pile intermédiaire, ces deux ouvrages d'art d'une portée d'une centaine de mètres linéaires seront aménagés dans le lit de l'Huveaune. Les travaux devraient démarrer au début de l'année 2019 pour une durée de deux ans. Le montant du marché s'élève à 12,671 millions d'euros HT.
Lemoniteur.fr et Tpbm-presse.com 05-09-2018
Le préfet du Val-d’Oise a annoncé que les travaux de réparation du viaduc de Gennevilliers débuteront en septembre et s’étaleront jusqu’à mi-mars 2019. En mai dernier, une partie du mur de soutènement de l’ouvrage s’était partiellement effondré. Situé avant le viaduc de Gennevilliers, le mur de soutènement a été construit, en 1974. Il s’agit d’un ouvrage en remblai renforcé avec des armatures métalliques, dont la structure est indépendante de celle du viaduc. Dans le cadre de sa réparation, la mise en place des installations techniques, l’approvisionnement en matériaux et l’acheminement des matériels sur place auront lieu en septembre prochain. Les travaux lourds, comprenant le confortement des parties du mur de soutènement restées en place démarreront dans la foulée début octobre. Ils seront organisés en deux postes successifs afin d’étendre leur réalisation en continu de 7h à 20h. Le déroulement programmé des travaux permettra l’ouverture d’une troisième voie de circulation sur l’autoroute A15 début décembre, avec une largeur des voies et une vitesse maximale autorisée réduites. La réouverture des 4 voies de circulation de l’autoroute A15 sera possible mi-mars 2019, après la réparation complète.
Constructioncayola.com 30-08-2018
La société Hydro Air Concept Energie, basée à Martillac, vient de mettre à l'eau sa première machine capable de générer de l'énergie à partir de la houle. Ce prototype d'une puissance de 50 KW est testé pour deux mois minimum au port de La Rochelle. Une sorte d'étoile de mer, de 20 mètres sur 18, composée de trois bras et d'un corps central qui accueille la turbine. "Le but est de montrer que cette machine fonctionne et récupère les petites houles comme les plus fortes et ainsi de prouver que ce l'on croyait impossible est réalisable. Elle a été testée en bassin d'essai pendant trois ans à l'école des Arts et Métiers de Bordeaux. On sait que ça marche, mais c'est une question de crédibilité. Il fallait procéder au test en mer", explique Jean-Luc Stanek, président fondateur exécutif et directeur technique de Hace. "Quand le soleil se couche et que le vent faiblit, Hace continue à produire votre énergie propre", complète Jean-Luc Stanek. "C'est notre slogan. Le soleil, c'est génial, mais la nuit il n'y en a pas. L'éolien, c'est bien également et il en faut dans le mix énergétique, mais en période de grands froids anticycloniques, il n'y a pas de vent. Or, c'est à ce moment là que la demande est la plus forte. La force de notre technologie, qui consiste à segmenter la houle, est de produire de l'énergie non intermittente, en phase avec la consommation. Nous pouvons récupérer l'énergie de toutes les vagues qui sont plus fortes le soir et en hiver."Depuis la mise à l'eau du premier prototype, plusieurs municipalités et ports affichent leur intérêt mais aussi les îles. "Il y en a 300.000 dans le monde", insiste Jean-Luc Stanek. Hace peut déjà compter sur quelques clients potentiels qui ont signé des lettres d'intention. "Parmi eux, un grand groupe international dont je tais pour le moment le nom. Le marché mondial est de l'ordre de 600 milliards d'euros par an", confie Jean-Luc Stanek qui insiste sur le fait que l'Europe évalue entre 10 et 15 % la part des besoins électriques pouvant être fournis par l'énergie des vagues d'ici 2050.
La Tribune 03-09-2018
Rassembler les acteurs de la santé au travail, dont l'Organisme professionnel de prévention du BTP (OPPBTP), au sein d'une "entité unique de prévention" : c'est la principale proposition formulée par le rapport Lecocq, du nom de la députée du Nord Charlotte Lecocq (LREM). Ce travail, qui vise à réorganiser le monde de la santé au travail, vient d'être remis au Premier ministre. Cette superstructure viendrait unifier trois organismes, à savoir l'Institut de recherche et de sécurité (INRS), l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact) et l'OPPBTP. Le rapport reste relativement flou sur les conséquences concrètes d'une telle éventualité. L'OPPBTP existerait-il toujours, et si oui sous quelle forme et avec quelle autonomie ? Le rapport assure en tout cas que "la nouvelle organisation, en clarifiant les missions de chacun dans un cadre unique, en renforçant les collectifs d'expertise, en les dotant de moyens fléchés et portés par des orientations stratégiques prioritaires, doit être une opportunité pour les professionnels (préventeurs, médecins...) de trouver plus de sens et d'efficacité collective, sans perdre leur identité". En région, le relais de cette nouvelle structure serait opéré par des agences régionales de prévention qui regrouperaient les services de santé au travail, les compétences des associations régionales pour l'amélioration des conditions de travail (Aract), les agents des Carsat et les agences régionales de l'OPPBTP. Objectif : rendre plus lisible et plus efficace l'offre aux entreprises liée à la santé au travail, avec un guichet unique. Une proposition qui va sans doute faire réagir les partenaires sociaux du secteur de la construction, qui opèrent la gouvernance de l'OPPBTP.
Batiactu.com 04-05-2018
Emmanuel Macron a promulgué hier la loi "avenir professionnel", qu'il a appelée un "texte anti-fatalité" permettant aux jeunes de se former et aux Français de "rebondir ou changer de vie". "C'est un texte anti-fatalité", a-t-il déclaré, assis à son bureau de l'Elysée, entouré de la ministre du Travail Muriel Pénicaud et du porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, assis à ses côtés. "Il permet enfin de mettre en oeuvre une vraie égalité salariale dans l'entreprise entre les femmes et les hommes, nos entreprises devront donc pleinement s'y conformer. Si nous réussissons cette transformation, nous serons le premier pays à le réussir", a-t-il déclaré. Cette loi "simplifie l'apprentissage", en particulier en fondant en une seule les aides aux entreprises, qui sera versée en même temps que le salaire, dont le coût sera ainsi réduit, et en permettant d'accueillir des apprentis tout au long de l'année. "Dès cette rentrée il y a une augmentation de 50% des inscriptions dans les filières" d'apprentissage, s'est félicité le président. Le texte met aussi en place le "compte personnel de formation" en euros et non plus en heures, et réforme l'assurance-chômage en l'ouvrant, sous conditions strictes, à certains salariés démissionnaires et à des indépendants, un engagement de campagne du candidat Macron. Adoptée fin juillet, la loi entrera progressivement en vigueur à horizon 2021.
A.F.P. 05-09-2018
Vinci Construction Grands Projets, en groupement avec son partenaire britannique Costain, a livré le 30 juillet 2018 le plus long tunnel pour eaux usées d'Écosse. Avec ses 4,7 mètres de diamètre et ses 5 kilomètres de long, ce projet d'infrastructure s'intègre dans un programme de modernisation du réseau existant pour la gestion des eaux usées de l'agglomération de Glasgow. Ce nouveau réseau d'assainissement offre un stockage supplémentaire de 90 000 m3, l'équivalent de 36 piscines olympiques, et permet de réduire les risques d'inondation dans la région et d'augmenter le flux de traitement des eaux usées. Près de 100 personnes ont été mobilisées pendant 2 ans pour mener à bien ce chantier, dans un environnement urbain dense. Le tunnelier à pression de boue, pensant 1 000 tonnes et mesurant 180 mètres de long est ainsi passé sous des voies de chemin de fer en activité, ou encore d'anciennes carrières de charbon ayant nécessité un traitement spécifique.
Zonebourse.com 03-09-2018
Aux Pays-Bas, dans la province de la Frise, Spie compose une équipe chargée de la création d’un pont cyclable mobile, construit à partir de matières premières naturelles et du plastique renforcé de fibres. Ayant vocation à remplacer le pont actuel sur le canal de Van Harinxma, dont la durée de vie arrive à terme, la nouvelle infrastructure garantira, dès son entrée en service début 2019, un passage sécurisé et facilité pour les plus gros navires grâce à sa largeur de dégagement de 17 m. Egalement plus durable puisque conçu en matériaux biosourcés, elle apparaitra plus légère et nécessitera moins d’entretien. Jos Schoorlemmer, directeur de compte chez Spie Nederland ajoute : « Nous employons du lin et de la résine pour l’installation de cette infrastructure. Ce sont des produits naturels, très différents des constructions en acier auxquelles nous sommes habitués. Cela nous pousse à relever des défis très intéressants, car la technologie que nous utilisons avec ce pont n’a jamais été appliquée jusqu’à présent. »
Constructioncayola.com 27-08-2018
La plus grande centrale hydroélectrique de Colombie ne sera pas opérationnelle avant 2021, avec trois ans de retard, suite à la situation d'urgence qui a fait craindre son effondrement, a déclaré Jorge Tabares, dirigeant du principal actionnaire. Hidroituango, qui doit couvrir un cinquième des besoins énergétiques du pays, s'élève sur le fleuve Cauca, dans le département d'Antioquia (nord-ouest), pour un investissement initial équivalent à 3,7 milliards de dollars. Mais début mai, ce chantier colossal s'est trouvé en situation d'urgence : un glissement de terrain a bloqué une conduite de sortie des eaux, la pression menaçant alors toute la structure du gigantesque barrage. Jusqu'à 25.000 habitants de municipalités voisines ont dû être évacués, dont 3.000 sont encore dans des centres d'accueil, selon les autorités. "Il y a d'importantes incertitudes (...) mais notre projection de base montre au moins 36 mois de retard sur la date initiale, c'est-à-dire que le projet devrait produire de l'énergie en 2021", a déclaré M. Tabares, vice-président exécutif de Finances corporatives de entreprises publiques de Medellin (EPM). Après l'obstruction de la conduite, les ingénieurs avaient habilité la chambre des machines comme voie d'évacuation des eaux. La construction de la centrale est assurée par le consortium CCC Ituango, composé des entreprises brésilienne Camargo Correa (55%) et colombiennes Conconcreto (35%) et Coninsa-Ramon H (10%).
A.F.P. 06-09-2018
En banlieue rurale de Pékin, un chantier de 8.000 ouvriers s'étend à perte de vue : la Chine construit un nouvel aéroport géant au design futuriste, qui devrait devenir l'un des plus fréquentés du monde. Destiné à alléger la pression sur l'autre aéroport international de la capitale qui est proche de la saturation, il ouvrira au public en juin 2019, affirme Li Jianhua, le directeur exécutif du projet au sein du groupe de construction Beijing Urban Construction Group. Ce nouvel "Aéroport international de Daxing" devrait fonctionner à plein régime en 2025. Il disposera alors de huit pistes opérationnelles et sera capable d'accueillir 72 millions de passagers par an. D'un coût total de 63,9 milliards de yuans (8 milliards d'euros), le nouvel aéroport nécessitera au total quelque 200.000 tonnes d'acier, soit la même quantité que pour le porte-avions chinois Liaoning, souligne Li Jianhua. Il ajoute que les ouvriers ont travaillé à un rythme très rapide sur le chantier, équivalent à la construction chaque jour d'un immeuble de 18 étages. D'ici 2036, le nombre de passagers transportés dans le monde devrait quasiment doubler et atteindre 7,8 milliards par an, selon les estimations de l'Association internationale du transport aérien (IATA).
A.F.P. 31-08-2018
Thème : La maintenance des ouvrages de génie civil.
Contact et réservation :
Karine Lhuillier
06.11.49.31.48
Mail : lhuillier.karine@laposte.net