Missions et expertises
Gouvernance
Agenda
Réseau régions
Réseau spécialités
Publications corporate
Partenaires
Contact
Juridique - Marchés
Travail & protection Sociale
Santé & sécurité
Formation
Conventions collectives
Environnement & RSE
Matériel & logistique
Innovation & technique
Europe
International
Annuaire carte professionnelle
Accidents du travail
Carte professionnelle
Certificat de signature électronique
Contrathèque
DIAG-INNOV-TP
Enquêtes FNTP
Kit contractuel
Kit social
Materrio
Matériel volé
Parcours RSE TP
Recycleurs des Travaux Publics
Référentiel bruit et température
TP Matériel
Les entreprises françaises sont confrontées à de plus en plus de difficultés pour recruter. Quand leurs métiers sont méconnus, comment font-elles pour signaler aux jeunes et aux chercheurs d'emplois qu'il y a des postes à prendre ? Le secteur des travaux publics est aussi très méconnu. Plus d'une entreprise sur deux doit limiter son activité faute de trouver du personnel, estime la Fédération nationale des travaux publics (FNTP). Or l'industrie a besoin de recruter 40000 personnes par an (dont 10000 créations de postes) sur les cinq prochaines années pour faire face aux départs en retraite et à « l'aspirateur à maind'oeuvre» du Grand Paris. Ses atouts? Le salaire moyen de ses ouvriers (2100-2500 euros bruts mensuels) et son ascenseur social interne : on peut commencer ouvrier et devenir chef de chantier. Mais ces arguments ne parlent pas forcément aux jeunes... Pour séduire les 13-18 ans, la FNTP a lancé une campagne de pub avec un clip du rappeur DEF et le hashtag #FranchementRespecten octobre dernier. En janvier, elle a aussi lancé un concours de « punchlines » avec des casques Beats By Dre à gagner. Elle a enfin noué un partenariat avec l'Education nationale pour accueillir beaucoup plus de stagiaires de 3e.
L'Opinion 05-02-2019
L’ancienne directrice de cabinet de Nicolas Hulot et de François de Rugy au ministère de la Transition écologique et solidaire, Michèle Pappalardo, présidente de chambre de la Cour des comptes qui a réintégré la Rue Cambon en novembre dernier comme présidente de la formation interjuridictions sur les finances publiques locales, vient d’être nommée rapporteure générale du rapport public et des programmes. Une fonction où elle sera chargée de présider le comité du rapport public et des programmes et de préparer chaque année le très médiatisé rapport public annuel remis au président de la République et au Parlement.
Acteurs Publics 04-02-2019
Vinci a généré en 2018 un résultat net part du groupe en hausse de 8,6 % à 3 milliards d’euros et un résultat opérationnel sur activité en progression de 8,5 % à 5 milliards d’euros. Le chiffre d’affaires consolidé a atteint 43,5 milliards d’euros, en hausse de 8,1 %. Il est en progression de 3,3 % à structure comparable avec des impacts des changements de périmètre (+5,6 %) et des variations de change (-0,8 %). Le chiffre d’affaires de la branche concessions s'est élevé à 7,3 milliards d’euros, en hausse de 4,6 % à structure réelle (+3,2 % à structure comparable). Le chiffre d'affaires de la branche contracting (BTP) est ressorti à 35,8 milliards d'euros, en hausse de 9% (+3,4 % à structure comparable). " L'année 2018 a confirmé la bonne orientation des marchés de Vinci Energies et d'Eurovia qui ont, par ailleurs, réalisé d'importantes acquisitions à l'international ", a précisé le groupe. Vinci Construction, de son côté, a stabilisé son niveau d'activité. Pour 2019, Vinci anticipe de nouvelles progressions de son chiffre d'affaires et de son résultat. Dans les concessions, le trafic des plateformes de Vinci Airports, à périmètre constant, devrait continuer de progresser, à un niveau toutefois moindre qu'en 2018, en raison d'un effet de base élevé. Par ailleurs, l'aéroport de Londres-Gatwick devrait être intégré au cours du deuxième trimestre. L'évolution du trafic sur les réseaux Vinci Autoroutes devrait suivre celle de l'activité économique en France, hors événements exceptionnels. Dans le contracting, le bon niveau des carnets de commandes permet d'envisager une évolution positive, à structure comparable, du chiffre d'affaires dans l'ensemble des pôles. Celui-ci bénéficiera, de plus, de l'intégration en année pleine des récentes acquisitions réalisées principalement à l'international. La priorité restera donnée à la poursuite de l'amélioration de la marge.
A.O.F.06-02-2019
Les experts de Coface anticipent une croissance de 1,4% pour le produit intérieur brut (PIB) français, soit un rythme inférieur à la prévision du gouvernement. Lors de ses voeux adressés à Bercy aux acteurs de l'économie il y a quelques jours, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a annoncé un chiffre optimiste pour l'activité tricolore. "Nous maintenons notre prévision de croissance à 1,7% pour 2019, qui est proche des évaluations du Fonds monétaire international (FMI) et qui est soutenue par les mesures récentes du gouvernement en faveur des salariés." La consommation des ménages devraient retrouver des couleurs en ce début d'année après un dernier trimestre 2018 difficile. Le spécialiste de l'assurance-crédit met en avant l'effet des mesures telles que "la suppression des cotisations salariales, la baisse de la taxe d'habitation, la hausse de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires et la baisse de la contribution sociale généralisée pour un tiers des retraités dont la pension est comprise entre 1.200 et 2.000 euros". Coface projette une hausse des salaires liée aux tensions sur le marché du travail et aux difficultés de recrutement des entreprises mais aussi au ralentissement de l'inflation liée à la stabilisation des prix du pétrole. Tous ces facteurs pourraient ainsi venir doper le pouvoir d'achat d'une bonne partie des ménages français. Du côté des entreprises, le tableau est plus sombre. En dépit de conditions de financement relativement favorables et des taux de marge élevés, les défaillances d'entreprises devraient grimper de 1% en 2019 après avoir connu une baisse en 2018 (-3,4%).
Latribune.fr 05-02-2019
La ministre des Transports Elisabeth Borne a confirmé la construction du CDG Express, assurant que "ça ne se fera pas au détriment des transports du quotidien" et donc que le rendez-vous des jeux Olympiques de 2024 pourrait être manqué. "Le contrat de concession sera signé dans les prochains jours" avec le gestionnaire d'infrastructure détenu à parts égales par ADP, SNCF Réseau et la Caisse des Dépôts, a annoncé Mme Borne. Le CDG Express doit théoriquement relier, à partir du 1er janvier 2024, la Gare de l'Est, dans le centre de Paris, au terminal 2 de l'aéroport de Roissy. Le trajet, long de 32 kilomètres, doit durer vingt minutes et coûter 24 euros. Mais ce projet est contesté par de nombreux habitants et élus d'Ile-de-France qui craignent que les travaux ne perturbent trop les lignes de trains de banlieue au nord de Paris, en particulier le RER B. Une centaine d'élus franciliens ont écrit fin janvier au préfet de région Michel Cadot, chargé par Mme Borne d'une mission de concertation, pour demander aux autorités "d'abandonner au plus vite" le projet. Ile-de-France Mobilités, l'autorité régionale des transports présidée par Valérie Pécresse (LR), la maire de Paris Anne Hidalgo (PS) et le président du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis Stéphane Troussel (PS) avaient déjà fait part de leurs réserves. "Il y a un nombre de chantiers très importants, avec quinze projets majeurs d'après SNCF Réseau. Le CDG Express n'est qu'une petite partie du sujet", a pointé la ministre des Transports. "Le préfet de région a été chargé d'une mission sur le calendrier des travaux. Il remettra ses conclusions fin mars ou début avril. Il dira clairement quels sont les éventuels ajustements qui pourront être nécessaires dans l'organisation des chantiers", a-t-elle relevé, notant qu'"il faudra, le cas échéant, faire des priorisations". Mme Borne a rappelé au passage que plus de 500 millions d'euros iraient à l'amélioration du RER B sur le 1,8 milliard que doit coûter le projet de CDG Express, "sans un seul euro de subvention publique". Quant à une ouverture à temps pour les JO de 2024, "à l'heure actuelle, SNCF Réseau nous dit que cette date est tenable", a constaté Mme Borne. Mais il faudra éventuellement "toucher au calendrier", en fonction des conclusions du préfet Cadot, a-t-elle prévenu. Dans un rapport remis à Mme Borne après sa mission de concertation, le préfet Michel Cadot estime que la somme des travaux attendus d'ici à 2024 sur l'axe ferroviaire de Paris-Nord aura nécessairement un impact sur la qualité des service des transports du quotidien "avec ou sans CDG Express". Ces chantiers auront un impact "acceptable" en 2019 et 2020 sur la qualité de service du RER B, comparable à celui de 2018, et "supprimer CDG Express ne résout rien à court terme" car ce projet a déjà été pris en compte dans le calendrier des travaux, selon lui. Mais la totalité des travaux à conduire va nécessiter des coupures de circulation importantes sur cet axe de 2021 à 2024, prévient-il déjà, appelant à "des solutions innovantes et ambitieuses" afin de limiter au maximum les désagréments pour les usagers.
Le Figaro avec A.F.P. 05-02-2019
Le chantier de rénovation de la LGV Nord a été lancé en 2015, 22 ans après l’ouverture de cette ligne, l’une des plus anciennes de France et qui nécessitait une cure de jouvence de grande ampleur. Plus précisément, il s’agit pour SNCF Réseau de remplacer la totalité des rails et du ballast sur les 333 km de voies ferrées pour un montant total de 429 millions d’euros. Depuis le 28 janvier et jusqu’au 27 juillet 2019, les équipes s’attaquent à un nouveau tronçon de 32 km situé au nord de Verberie (60) dans le sens Paris Lille. SNCF Réseau qui finance ce projet de 53 millions d’euros, a planifié un chantier en deux étapes : du 28 janvier au 18 mai, il s’agit de renouveler 50 000 tonnes de ballast à l’aide d’une dégarnisseuse-cribleuse. Puis, du 10 juin au 27 janvier, ce sera au tour du train BOA opéré par l’entreprise TSO d’entrer en scène pour remplacer les voies sur 32 km, soit 64 km de longs rails soudés. « En parallèle, nous modernisons un appareil de dilatation à hauteur du viaduc de Verberie du 21 janvier au 23 février » précise Sandrine Godfroid, directrice de SNCF Réseau Hauts-de-France. Concernant les circulations commerciales, les trains vont continuer à circuler en journée car les travaux sont réalisés de nuit, du lundi soir au samedi matin. SNCF Réseau précise cependant que la voie ferrée étant fragilisée durant les travaux, la vitesse des trains est limitée à 120 km/h sur la zone de chantier, durant la première période de travaux uniquement (renouvellement de ballast). Ce chantier est alimenté par la nouvelle base travaux de Lille Délivrance, inaugurée en novembre 2018. C’est depuis celle-ci qu’est gérée toute la logistique du chantier de rénovation de la Ligne Grande Vitesse Nord. « La base sera en activité six à huit mois par an entre 2019 et 2023, mais uniquement la journée et en semaine, car pour garder la LGV ouverte à 300 km/h, nous ne disposons que de 3h30 de travail effectif par nuit », note Sandrine Godfroid. D’un montant de 11 M€, le réaménagement du site de l’ancienne de gare de triage de Lomme-Délivrance a consisté dans un premier temps à défricher, déminer et débarrasser les déchets accumulés au cours d’une décennie de quasi-abandon, puis à construire deux voies pour accueillir les trains-usines de 750 m chargés d’approvisionner le chantier de la LGV en rails et en ballast. Des routes et des aires de stockage ont aussi été créées, notamment pour entreposer les matériaux de rénovation.
Constructioncayola.com 01-02-2019
Le câble de précontrainte du pont de l'île de Ré qui avait cassé en septembre 2018 a été changé et la circulation reviendra à la normale à la mi-février, a-t-on appris auprès du Département de Charente-Maritime, propriétaire de l'ouvrage d'art reliant l'île à La Rochelle. La circulation sur les trois km du pont reviendra à la normale "à partir du 15 février", a indiqué le vice-président du conseil départemental et président de la Communauté de communes de l'île de Ré, Lionel Quillet. Depuis la découverte de la rupture d'un câble qui sert, comme les 235 autres installés dans le cœur du pont, à rigidifier la structure, l'accès à l'ouvrage a été interdit aux poids-lourds de 38 tonnes et la vitesse a été limitée à 50 km/h pour tous les autres véhicules. Si tout est réparé, le pont va néanmoins rester sous surveillance renforcée, alors que des visites de l'installation sont programmées toute l'année depuis son ouverture en 1988. "On a vérifié un tiers des câbles, ils sont en bon état", a poursuivi Lionel Quillet "mais on sait que cette génération de câbles a une usure. Donc, on va ausculter tous les câbles même si cela coûte très cher", a-t-il ajouté. Les recherches menées à l'intérieur de l'ouvrage d'art ont conclu que la défaillance de ce câble de 220 mètres de long était due à la présence de mousse de polyuréthane, posée au moment de la construction du viaduc, qui a concentré de l'eau et corrodé le métal.
A.F.P. 05-02-2019
Le Medef vient de lancer, le mardi 5 février, sa campagne de mobilisation " Merci l'Europe ", en vue des élections européennes de mai. Une opération pro-UE tout de même empreinte d'une volonté de changement. Le Président Geoffroy Roux de Bézieux a rappelé à cette occasion que "si le Medef est viscéralement pro-européen, ses membres ne sont pas des Européens béats, mais des Européens optimistes mais aussi lucides. " Car dans l’esprit du successeur de Pierre Gattaz, l’Europe a de nombreux points sur lesquels elle doit s’améliorer. C’est pourquoi « “Merci l’Europe“ est plutôt un “merci mais” ». « Tout le monde constate que c’est un continent qui permet une forme de prospérité économique, mais il y a beaucoup de choses à corriger », avait-t-il déclaré plus tôt dans la matinée au micro des « Quatre Vérités » sur France 2. Parmi elles, il estime qu’il faut rendre au génie technologique européen ses lettres de noblesse. « Nous sommes convaincus que la constitution de champions européens est indispensable face aux Chinois et aux Américains », autrement dit face aux Gafa et à leurs homologues asiatiques, les BATX. Le patron du Medef voudrait également qu’une « forme de convergence fiscale et sociale » soit mise en place entre les 28 – ou 27 dans le cas d’un Brexit mis à exécution – Etats membres. Afin de résoudre ces problématiques, « les entrepreneurs doivent être inclus dans le processus politique européen », a estimé dans un tweet le vice-président du Medef, Patrick Martin. Mais pour cela, encore faut-il que ces derniers partagent la vision de leurs représentants. C’est pourquoi, soucieuse de bien faire, l’organisation patronale a commandé une étude auprès de l’institut de sondage OpinionWay : sur les 601 dirigeants d’entreprises interrogés, 62% considèrent qu’appartenir à l’Union européenne est une bonne chose pour la France. Mais paradoxalement, près de 60% ne savent pas si elle représente un tremplin ou un obstacle pour leur société. Ils sont même plus d’un tiers à penser qu’il s’agit d’un inconvénient. Des résultats en demi-teinte qui ne semblent pas gêner Geoffroy Roux de Bézieux. Et ce, alors qu’il avouait en début de conférence avoir été « inquiet des résultats, parce que c’est vrai depuis plusieurs années, la mode n’est, en quelque sorte, plus très pro-européenne ».
Challenges 06-02-2019
Dans son dernier rapport annuel, la Cour des comptes suggère plusieurs pistes afin d’endiguer le phénomène, synonyme de droits bafoués pour les salariés, de concurrence déloyale pour les entreprises et de recettes perdues pour la Sécurité sociale. En 2017, quelque 516 000 personnes ont été employées en France dans le cadre d’un détachement – procédure qui permet à une société européenne d’envoyer du personnel dans un autre Etat membre de l’Union, pour une mission temporaire. Les patrons concernés sont tenus de respecter le « noyau dur » du code du travail applicable dans le pays d’accueil – c’est-à-dire un corpus de règles fondamentales sur le smic, la durée maximale de travail, etc. En revanche, le travailleur détaché reste affilié au système de protection sociale du pays d’origine, avec des taux de cotisation qui sont souvent inférieurs à ceux pratiqués dans l’Hexagone. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles le détachement est régulièrement critiqué, au motif qu’il encouragerait l’importation de main-d’œuvre à moindre coût, au détriment d’entreprises tricolores qui ne peuvent pas lutter à armes égales. En France, le recours à cette forme d’emploi, qui s’est beaucoup développée depuis l’élargissement de l’Union aux pays d’Europe centrale et orientale, se révèle « significatif » dans plusieurs secteurs : l’agriculture, en tout premier lieu, mais aussi le BTP et, dans une moindre mesure, l’industrie, énumère la Cour des comptes. « Ce n’est pas le statut en lui-même de travailleur détaché qui pose problème », considère la haute juridiction. Mais il se trouve que les règles encadrant le dispositif ne sont souvent pas respectées : « omission de formalités obligatoires »(par exemple la « déclaration préalable »), « non-respect du “noyau dur” » du code du travail (avec des horaires à rallonge et des rémunérations dues qui ne sont pas versées), infractions plus complexes – des personnes sont détachées alors que leur activité en France est durable et ne peut donc pas relever du détachement… Précision importante : ces pratiques « font toutes intervenir un bénéficiaire final installé » dans l’Hexagone. Autrement dit, des employeurs tricolores s’associent à de telles combines et en tirent profit. Face à ces situations, l’arsenal répressif a été durci, à la faveur de plusieurs lois adoptées entre 2014 et 2018 et les contrôles de l’inspection du travail se sont accrus. Mais les autres services chargés de vérifier s’il y a des abus s’impliquent de manière « inégale ». Ainsi, l’Agence centrale des organismes de Sécurité sociale (Acoss) a effectué, en 2017, une soixantaine de « contrôles ciblés » débouchant sur des redressements de cotisations de 40 millions d’euros. « Ces résultats ne sont pas à la hauteur des enjeux », juge la Cour – appréciation trop sévère, rétorque le directeur de l’Acoss dans sa réponse au rapport.
Le Monde 06-02-2019
EDF Renouvelables et son partenaire éolien en Inde, le groupe SITAC, annoncent la signature d'un contrat de vente d'électricité (PPA) de long terme, portant sur la production de 300 MW de projet éolien récemment remportés auprès du Gouvernement indien. L'énergie produite par le futur parc éolien sera vendue à SECI, institution du ministère indien, dans le cadre d'un PPA d'une durée de 25 ans. La production électrique couvrira les besoins annuels en électricité propre de plus de 1,3 million d'Indiens. Le développement, la construction, le financement et la gestion d'actif de ce projet éolien sont assurés par SITAC Management & Development, coentreprise entre EDF Renouvelables et SITAC. La construction du parc éolien démarrera en 2019.
Laviedesresaux.fr 04-02-2019
L’opérateur de transport de Wallonie et la société Tram’Ardent composée de Colas Belgium, Colas Projects, Colas Rail Belgium, CAF Investment Projects ainsi que du fonds d’investissement DIF Infrastructure V ont signé, le 31 janvier, le contrat PPP portant sur le financement, la conception, la construction et la maintenance de la première ligne de tramway de Liège. Ce contrat, d’une durée de 31 ans, prévoit une période de conception-réalisation de 45 mois, suivie d’une période de maintenance de 27 ans, indique le groupe Colas dans un communiqué. D’une longueur de 12 km, dont 90 % en site propre, la première ligne de tramway de Liège desservira 21 stations et reliera la gare multimodale de Sclessin (Sud-Ouest de Liège) à Coronmeuse (Nord-Est) en desservant la gare TGV et la place Saint-Lambert. Piloté par Colas Projects, le groupement constructeur est composé de CAF et des filiales de Colas. Le groupe de BTP assurant la conception-réalisation des stations, des voies, de la ligne aérienne de contact, des bâtiments et ouvrages d’art ainsi que des aménagements urbains du projet, incluant 240 000 m2 d’espaces connexes, pour un montant de 266 millions d’euros. CAF est quant à lui en charge de la conception-réalisation des systèmes et du matériel roulant. Les travaux débuteront en 2019, pour une mise en service de la ligne prévue en octobre 2022. Puis la société de maintenance composée de Colas Belgium, Colas Rail Belgium et CAF Belgium assurera la maintenance des infrastructures et des équipements pendant 27 ans.
Constructioncayola.com 05-02-2019
Rome a remis au gouvernement français l'analyse évaluant les coûts et les bénéfices de la liaison ferroviaire Lyon-Turin, a annoncé le ministère italien des Transports. "Ceci est le point de départ d'un dialogue entre les deux exécutifs. Une rencontre bilatérale sera rapidement organisée", a expliqué le ministère dans un communiqué, en précisant que le rapport avait été remis à l'ambassadeur de France en Italie, Christian Masset. Le projet de liaison ferroviaire Lyon-Turin divise profondément la coalition populiste au pouvoir à Rome, qui a donc commandé une analyse coûts-bénéfices avant de se prononcer. La commission d'experts a remis le 9 janvier son rapport au gouvernement italien, et selon la presse italienne, il recommande l'arrêt des travaux. Le ministre italien des Transports Danilo Toninelli avait expliqué fin janvier que le rapport serait rendu public après la mi-février, à l'issue d'une rencontre avec la commissaire européenne aux Transports Violeta Bulc et la ministre française Elisabeth Borne. Cette liaison ferroviaire, qui prévoit le percement d'un tunnel dans les Alpes pour rapprocher Lyon et Turin, est soutenue par la Ligue de Matteo Salvini (extrême droite). En revanche, le Mouvement Cinq Etoiles (M5S, antisystème) de Luigi Di Maio y est hostile et a promis de mettre fin à ce qu'il considère comme un gaspillage d'argent public. Le Lyon-Turin "ne se fera pas", a encore assuré dimanche M. Di Maio, alors que deux jours plus tôt, M. Salvini avait indiqué qu' "y renoncer et mettre en danger la vie des entreprises (lui) semblait peu raisonnable". Mme Borne a invité de son côté l'Italie à prendre rapidement des décisions pour respecter le calendrier.
A.F.P. 05-02-2019
La FRTP Hauts-de-France organise le 8 février 2019 une journée Prévention - Santé à destination des équipes de terrain : ouvriers, conducteur d’engins…
Elle se déroulera au Lycée Professionnel des Travaux Publics de Bruay La Buissière (62).
4 ateliers ponctueront la journée :
Travail en présence de réseaux gaz - électricité
Chutes de plain-pied
Sécurité routière
Gestes et postures
Pour vous inscrire, contactez la FRTP Hauts-de-France.